Je vous explique tout sur cette page.
Il y a encore beaucoup de choses à faire, notamment des plantations de cultures et des semis (en intérieur ou en extérieur), mais pas que !
Bien sûr, il ne faut pas faire n’importe quoi.
Et surtout, il faut sélectionner les variétés anciennes et adaptées à la saison froide de chez vous.
Cela demande une expertise que je partage avec plaisir aux lecteurs de ma newsletter Seconde Nature.
Lisez bien toute cette lettre si :
➕vous souhaitez augmenter vos récoltes dès le printemps prochain
➕votre jardin a besoin d’une bonne cure de régénérescence
➕vous découvrez la permaculture
➕vous découvrez le jardinage tout court
➕vous souhaitez en faire un peu moins au jardin, pour vous préserver
➕vous mourrez d’envie de retrouver des légumes dignes de ce nom : avec les saveurs d’antan, les odeurs vives et une qualité nutritionnelle inégalée
Vous êtes au bon endroit, c’est parti !
Cela paraît contre-intuitif, mais c’est en automne-hiver que le sol bat son plein !
On croit que tout est en pause jusqu’au prochain printemps, puisqu’à sa surface tout semble au ralenti, les feuilles sont tombées, etc.
Justement, voici ce qu’on ignore souvent sur cette saison phare :
🟢 Le sol ne gèle pas (passé 5cm de profondeur), il a même un température constante toute l’année selon une certaine profondeur, où vont les racines d’ailleurs.
💡 C’est d’ailleurs pour cela que les vers de terre peuvent survivre aux hivers (les épigés qui vivent “en surface) ou les limaces, qui hivernent chez vous en s’enterrant à quelques centimètres dans votre sol.
🟢 Si les feuilles tombent des arbres, c’est parce que la sève retournent dans les racines et que les racines sont justement pleinement actives ! C’est en automne-hiver qu’elles investiguent les profondeurs du sol.
💡 C’est d’ailleurs pour cela qu’on recommande fortement de planter les vivaces, les arbres ou arbustes plutôt en automne-hiver (hors janvier) pour qu’elles aient le temps de créer un système racinaire costaud avant le printemps.
🟢 En fait en cette saison, le sol en entier est pleinement actif à digérer encore plus tout ce qui est à sa surface (paillage par exemple), ou en profondeur : racines de plantes mortes etc.
💡 C’est d’ailleurs pour cela que je recommande toujours de récolter en laissant les racines dans le sol, ou à la surface, en cette saison, pour rendre au sol les nutriments.
🟢 C’est notamment ce processus qui nourrit, aère et structure le sol pour qu’il soit naturellement fertile et bien portant pour les 3 prochaines saisons de hautes cultures !
1 - La première chose, c’est de pailler,
mais à fond !
Certes on doit le faire toute l’année, mais là, je parle d’un paillage très épais qu’on va laisser en place toute la saison froide là où le sol est pauvre, pour l’enrichir naturellement et stimuler la vie du sol.
On peut aussi bâcher par-dessus, pour accélérer la décomposition.
Voici par exemple chez Dominique, un abonné de la Revue Seconde Nature :
2 - La deuxième chose, c’est de semer des engrais verts, gélifs ou non !
On parle “d’engrais VERTS” car on utilise des plantes vivantes comme culture temporaire dans le sol afin de l’améliorer, comme si on lui mettait de l’engrais.
C’est l’ancien principe des friches ou de la jachère, où après une culture on laisse au repos la terre en laissant les plantes spontanées y pousser un certain temps, ce qui travaille et nourrit le sol sans perturbation.
Le concept un peu modernisé consiste à sélectionner les plantes qu’on veut y installer, au lieu que ce soit des graines spontanées du sol.
Ici, on voit un semis de vesce réalisé par Micheline, également abonnée à La Revue Seconde Nature :
Dans les mélanges de graines pour réaliser vos engrais verts, on peut dire pour faire simple que ce sont toujours les plantes parmi ces 4 familles botaniques :
Bien sûr, il y a d'autres familles utiles, comme les Boraginacées avec la phacélie ou les familles des Hydrophyllacées, des Polygonacées, ou encore les Linacées.
Mais disons qu'avec ces 4 familles, vous êtes paré.
Je vous recommande d'utiliser les mélanges tout prêts des jardineries, car non seulement c'est pratique, mais en plus on est sûr d'apporter tout ce qu'il faut au sol grâce à leurs systèmes racinaires différents.
3 - La troisième chose, c’est de continuer à semer et à planter pour récolter !
Et justement, c’est souvent ce point qui fait défaut dans les jardins,
Voici par exemple un récent commentaire sous une de mes parutions Facebook, d’une jardinière pourtant non débutante :
Et pourtant il y en a des choses à faire : bulbes, semis, vivace, arbre ou arbuste (en racines nues du coup) !
Sans compter la pratique du marcottage et du bouturage. Mais restons sur les potagères pour le moment.
Au potager, on distingue d’ailleurs 2 types de plantes :
Par exemple, parmi les gélives :
On retrouve bien sûr toutes nos récoltes d’été : aubergine, maïs, tomate, patate douce, poivron, etc !
Ce qui explique qu’on ne les récolte qu’un seul été, puis le pied meurt en hiver, alors que dans les régions où il n’y a pas d’hiver, le pied ne meurt pas et ces plantes sont considérées là-bas comme des “vivaces”, et chez nous des “annuelles”.
Parmi les non gélives, il y a les frileuses et les moins frileuses.
Les potagères qui résistent le mieux au gel (disons jusqu'à -8°C) :
D’autres supportent entre 0°C et 3-4°C max, par exemple la betterave ou le céleri.
L’astuce en l’occurrence, c’est donc de prendre des variétés d’hiver !
Prenons le cas du radis.
Oui, on peut cultiver du radis toute l’année, mais pas avec les mêmes variétés.
L’été j’aime semer “le radis rond de 30 jours”.
Mais en automne cela n’aurait aucun sens : il ne supporte pas le gel et va se fendre de l’intérieur.
C’est pourquoi je préfère ces variétés :
🟢radis violet de Gournay
🟢radis noir rond d’hiver
🟢ou encore la très ancienne variété “radis rose d’hiver” qui vient de Chine. C’est un radis très long qui me fait penser aux carottes, et qui a la particularité de bien se conserver des mois !
Autre exemple avec la mâche, 2 variétés
pour en récolter 365 jours de l’année !
🟢 en janvier et en février vous récoltez la variété “ronde maraîchère”
🟢 en mars vous récoltez la variété “verte de cambrais” ou encore “coquille de louviers”
🟢 de mai à septembre, vous récoltez la variété “palmarès”
🟢 puis en automne hiver, vous récoltez la variété “d’Italie”
Sachant qu’un sachet de mâche coûte 2 à 3,5€, et qu’il dure 5 ans : c’est ultra rentable !
Car dans ce seul exemple, avec seulement 2 variétés vous récoltez toute l’année :
- 6 mois de beaux jours avec la variété “palmarès
- puis 6 mois de saison froide où l’on récolte la variété “coquille de louviers”
Si vous appliquez ces premiers conseils ces prochains jours, vous verrez que vous allez considérablement augmenter vos récoltes pour la prochaine saison !
La bonne nouvelle, c’est que j’édite personnellement une revue mensuelle de 32 pages pour vous aider, qui couvre chaque mois tout ce qu’il faut savoir concernant ce premier secret de saison !
Qui en sont les lecteurs ?
Uniquement les personnes qui suivent ma newsletter gratuite car je l’ai créé sur mesure pour la communauté de Seconde Nature.
C’est pourquoi vous ne la trouverez nulle part ailleurs en kiosque, et que vous ne trouverez nulle part ailleurs un contenu similaire !
Les abonnés sont aussi bien des jardiniers de 50 ans d’expériences que complètement débutants !
Car la force de cette revue, c’est de parler simplement avec tous les détails concrets et qui manquent ailleurs, pour que vous passiez à l’action 100% permaculture.
Voici quelques témoignages d’abonnés déjà bien expérimentés 👍
"Je constate que je n’ai plus le rendement souhaité d’où mon affiliation à votre revue.
J'ai 78 ans et je cultive avec mon mari depuis 2011"
Marie témoigne :
"J'ai créé mon potager bio en 1980, l'année où mon mari et moi avions emménagé dans une ancienne ferme.
Le potager est mon domaine. Votre philosophie me plaît.
Malgré mes 78 ans, mon expérience et toute la satisfaction que m'apporte ma terre devenue vivante et riche en biodiversité, je cherche toujours à apprendre.”
Xavier témoigne :
“Mon potager fait 700m2. Je suis déjà un jardinier confirmé mais je me suis abonné car je pense que votre approche va m’apporter une nouvelle manière de faire.
J’ai lu vos premières pages et vos conseils commencent déjà à me servir.
Je vous enverrai une photo de mon jardin prochainement.”
Et bien sûr, voici d’autres témoignages de jardiniers complètement débutants 👏 :
Clara témoigne :
“J’apprends tellement grâce à vous, quel bonheur !!!
Je cherchais depuis longtemps quelle revue, quel moyen pour avoir la bonne info, le bon conseil au bon moment, et vous voilà !!!
Cette année grâce à vous, je me suis lancée pour de bon dans un mini potager avec l’idée de ne pas y passer un temps monstrueux.
Et j’avoue que pour l’instant, c’est sur la bonne voie.
Merci encore, mille mercis !!!”
Sonia témoigne :
“C’est toujours avec une grande joie que j’ouvre le mensuel qui est une mine d’information qui me sont bien utiles.
J’apprécie votre plume légère, intéressante, les valeurs du respect de la vie que vous prônez et surtout le pourquoi du comment comme on dit chez nous.
J’aime aussi les alternatives proposées, cela permet à chacun de travailler à sa façon, mais avec les bonnes méthodes.
Merci infiniment pour tout ce travail et ce partage fait avec amour et passion.
Vivement le prochain mensuel !”
Et en parlant d’anticiper les saisons, certaines potagères ont un cycle de 7 mois et plus !
C’est pourquoi dès les revues d’été je conseillais dans le panel de plantations d’anticiper les cultures longues pour récolter en ce moment.
Claire H. témoigne :
“J'ai dévoré, ce matin, la revue du mois de juillet!
Quelle perspective... préparer des légumes pour l'hiver dès maintenant…
Ça ne m'est jamais venu à l'esprit, déjà que je me lance tout juste cette année sur des plantes potagère pour l'été ! [...]
Bonne journée à vous et merci pour vos bons conseils qui rendent l'investissement au jardin si simple!”
Voyons maintenant les 2 autres secrets permaculture qu’il vous faut connaître, et que je détaille chaque mois dans ma revue pour que ce soit adapté à chaque fiche plante et conseil de saison.
SECRET N°2 : l’urgence de planter directement
des variétés anciennes
= LE détail qui change TOUT
La majorité des jardiniers (même confirmés) font cette erreur :
Se priver des variétés anciennes qui sont pourtant les meilleures à tout point de vue.
Quelques rapides bienfaits de ce type de graines :
🟢 Les variétés anciennes nourrissent les sols comme nulle autre variété.
💡 Car elles ont un microbiote autour de l’enveloppe de la graine, avec des bactéries qui entretiennent la vie du sol.
😡 Or les variétés “F1” ou modernes sont des graines de laboratoire SANS ce microbiote.
🟢 Les variétés anciennes nécessitent moins d’arrosage que les autres
🟢 Les variétés anciennes résistent mieux aux maladies du potager
🟢 Les variétés anciennes s’adaptent hyper bien à votre climat unique (type de sol, météo, etc).
Surtout les vivaces, qui deviendront parfaitement adaptées à votre micro-climat.
🟢 Les variétés anciennes ont su résister des centaines et centaines d’années et des collectionneurs conscients ont su les préserver pour qu’on en ait encore à semer, ce sont des survivantes qui savent s’adapter au changement climatique actuel.
🟢 Les variétés anciennes sont les meilleures pour la nutrition : goût, odeur, texture, saveur, conservation !
Et j’en passe.
Le souci, c’est qu’il faut les connaître ces variétés anciennes ! Il en existe pour chaque potagère
Et ensuite, il faut savoir où les acheter facilement !
Justement, c’est une de mes expertises et j’en parle en détail dans ma revue car les autres revues ne le font, à ma grande surprise et tristesse !!
En effet, les autres livres ou revues
ne précisent pas le plus essentiel :
à savoir : le type de variété par plante, et bien sûr des variétés anciennes.
Au contraire, soit ils ne précisent pas si la variété et une F1 ou non,
soit ils s’en targuent alors que c’est le symbole même de la mort
de l’agriculture vivrière et des sols.
Rapide explication :
Aujourd’hui, on a plus de 50 ans de recul sur les pratiques intensives de l’agriculture post guerre mondiale.
On sait qu’elles sont mortifères pour les sols, pour la valeur nutritionnelle des aliments, pour toute la faune et la flore.
On le SAIT !
On sait aussi que les graines “F1” font partie de cet arsenal mortifère :
Non seulement ces graines ne nourrissent pas les sols (elles n’ont pas de microbiote dans leur enveloppe, comme les vraies graines naturelles).
Elles ne sont pas faites pour faire face aux aléas climatiques
(elles restent moins d’un an dans le sol, et elles sont accompagnées d’un tas de pesticides et d’engrais, car seules dans un sol labouré, elles ne peuvent plus survivre).
Elles sont brevetées, créées en laboratoires, sélectionnées pour répondre aux besoins du grand capitalisme
(produire plus, se conserver plus, au détriment de la qualité, du goût, de la santé).
Les agriculteurs n’ont pas le droit de semer ou planter autre chose que ces graines F1 répertoriées dans un “catalogue officiel” qui fait froid dans le dos.
Seuls les jardiniers, les particuliers, échappent provisoirement à ce diktat infâme du lobby agro-pharmaco
Car vous comme moi, nous avons le droit de ne pas acheter de graines F1.
Pourtant, les jardineries nous en vendent à gogo, souvent sans le préciser.
Les jardiniers mêmes débutants découvrent tôt ou tard que ces graines sont assez bizarres :
- la première année tout va bien,
- mais quand les mêmes graines de la plante en terre poussent à nouveau l’année suivante : c’est la stupeur !
- toutes les qualités de la plante ont disparu : c’est tout sauf normal, ni naturel.
Des graines kleenex quoi, de la consommation à gogo
Et c’est fait exprès : pour forcer à la vente chaque année.
Sorte d’obsolescence programmée… sur le vivant.
C’est pourquoi je mène personnellement un combat pour sensibiliser
sur l’importance des variétés anciennes des graines, surtout pour les jardins.
On peut dire que j’ai eu plusieurs vies, et dans l’une d’entre elles je me suis
passablement formée sur ce sujet.
J’ai travaillé avec les plus grands noms parmi les militants qui sauvegardent les
variétés anciennes en France.
Je les ai côtoyé pendant des années, j’ai travaillé avec eux.
J’ai vu de près leur conservatoire de semences, les itinéraires techniques qu’ils
utilisent pour faire vivre ces graines dans les sols très fréquemment. Etc !
Pourquoi j’insiste tant sur les variétés anciennes ?
En fait, à partir du moment où la variété n’est pas F1, c’est bon !
Toutes ces graines libres l’ont toujours été, de nos plus anciens ancêtres
jusqu’aux années 1945.
On parle de “variétés de population” ou de “semences paysannes”.
Parmi ces semences paysannes, j’aime beaucoup recommander les variétés
anciennes car ce sont celles qui ont fait leur preuve sur des centaines d’années !
Ce sont les meilleures en goût et en résistance pour les changements climatiques que l’on connaît !
Et comme une plante fournit des milliers de graines, chaque année, chaque
plante vous donne l’abondance à vie, comme c’est le cas dans la Nature par définition.
Avec les variétés anciennes, libres de droit, vous n’avez que des avantages.
Je m’étonne donc qu'on n'en parle pas plus.
Cela demande de les connaître, certes.
Mais certains éditeurs de grande référence, qui ont pignon sur rue dans les plus
grandes librairies de France… mentionnent passablement de variétés F1 dans
leurs guides sur le jardinage, et je n’en crois pas mes yeux !
En guise de bienvenue dans la revue mensuelle, vous trouverez justement le dossier cadeau sur les semenciers locaux et de confiance, pour chaque région de France et même pour ceux qui sont en Suisse ou en Belgique !
Chaque mois, je vous ferai découvrir
une dizaine de variétés anciennes,
faciles à trouver,
qui changent la vie au jardin et dans l’assiette !
Pour les débutants, c’est l’assurance de ne pas être lâché dans la nature.
Par exemple, dès mi mai, on peut semer ou planter des tomates.
Oui mais lesquelles ?
Cela ne nous précise pas qu’il existe plus de 15 000 variétés de tomates !
Si on ne sait pas le choix qui s’offre à nous, on risque de répliquer la classique tomate rouge qu’on voit dans les supermarchés.
Sans savoir qu’il en existe de toutes les formes, toutes les couleurs, plus ou moins acidulées.
Des variétés de tomate exprès pour la conservation, pour la cuisine, ou au contraire à déguster crues.
Des variétés adaptées à votre planning de vacances
Je veux dire par là que les débutants sèment et plantent souvent des variétés classiques sans se poser de questions.
Donc ces variétés classiques sont dites “de saison”.
Donc en gros, qui produisent à fond pile en août, quand la majorité des personnes qui peuvent prendre des vacances sont parties de chez elles…. pile quand les tomates sont prêtes à être récoltées.
Au contraire, chaque mois, selon ce qui est pertinent, je vous proposerai des variétés anciennes dites “précoces” ou “tardives”
Ce qui vous permet de récolter avant ou après vos vacances.
Mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Pour récolter toute l’année le même légume si vous le souhaitez.
Récapitulons :
➕ne pas abandonner le potager en saison froide
➕ choisir des variétés adaptées à la saison
➕ et qui soient en même temps des variétés anciennes
= c’est vous mettre sur la voie des jardins naturellement abondants.
Mais il y a encore un AUTRE SECRET dont j’aimerais vous parler, qu’on utilise souvent en permaculture et qui pourtant est souvent mal fait…
Autre spécialité de ma revue :
les associations de plantes !
Je sais que c’est important pour la majorité d’entre vous.
Et vous avez bien raison !
C’est pourquoi là encore, la meilleure façon d’en parler, c’est au fil des saisons,chaque mois lorsqu’il est possible de composer ces bonnes associations justement.
C’est pourquoi la partie potagère de ma revue finit systématiquement sur comment associer le mixte de plantes proposées dans le mois.
C’est un plan de culture proposé chaque mois, en associations de plantes :
Faites défiler quelques pages pour voir un aperçu des conseils.
Par exemple, j’y explique en détail les différentes vertus de ces associations :
🟢 pour maximiser votre surface
🟢 pour maximiser le rendement (la pollinisation, l’orientation etc…)
🟢 pour maximiser la fertilité du sol
🟢 pour éviter les maladies des plantes, ou trop d’humidité sur les plantes
🟢 pour repousser certains ravageurs etc…
😡Certaines plantes n’aiment aucune voisine, ou simplement par raison pragmatique (elle étoufferait sa voisine).
Cela vous donnera enfin un éclairage simple avec les bons réflexes sur ce sujet crucial
Qu’on tend pourtant à complexifier alors que c’est comme pour les semis : tout bête finalement.
Il y a beaucoup de bon sens en jouant ne serait-ce que sur les simples strates de hauteur des différents végétaux, ou sur leur cycle de production.
“associer les plantes” signifie qu’il y a de bonnes ET de mauvaises associations végétales.
Associer les plantes est une pratique très ancienne (ce n’est pas une nouveauté de la permaculture, créée dans les années 1960).
On retrouve cette façon de cultiver en associations aux 4 coins du monde dans les agricultures vivrières.
Par exemple, quand je vivais en Amérique latine, j’ai découvert la “Milpa”, qui ressemble à cela :
C’est l’association suivante :
🟢les maïs (1) servent de tuteurs
🟢aux haricots grimpants (2)
🟢et aux pieds on sème des courges (3) qui font couvre sol
(mais en plantant des piquets entre les maïs, les courges aussi peuvent grimper).
Ce trio de plantes associées, parfois traduit “Les 3 soeurs” en Occident, a permis depuis des centaines de générations de cultivateurs de maximiser les rendements tout en prenant soin du sol et des plantes.
Maximiser les rendements :
Sur le même espace, on récolte 3 plantes au lieu du maïs uniquement !
On cultive donc sur 3 plans différents : haut, intermédiaire, bas.
Prendre soin des plantes :
Les plantes s’apportent mutuellement de nombreux services :
🟢microclimat,
🟢sol en permanence frais grâce au paillage vivant des feuilles de la courge,
🟢plus de pollinisation car plus de fleurs au même endroit, etc…
Prendre soin du sol
Certains agronomes ont commencé à analyser scientifiquement ce que les plantes apportent exactement au sol.
La famille des Fabaceae (haricot, lentilles, pois etc…) est connue pour améliorer le sol en azote là où ces plantes poussent.
Outre ces aspects nutritifs, des plantes de hauteurs différentes garantissent un travail du sol naturel grâce aux différents systèmes racinaires.
👍 C’est donc en effet hyper intéressant à mettre en place au jardin, pour créer un cercle vertueux.
Le problème, c’est qu’en Occident, on a un peu trop complexifié cette approche
Un élève sur 2 que je coache est autant stressé qu’excité avec cette notion de plantes compagnes.
Mais très peu tirent partie de bénéfices car ils les réalisent… assez mal.
Ou finalement ils ne passent pas à l’acte, de peur de faire un mariage malheureux.
Donc ils se rabattent sur des rangées monocultures...
On peut voir des tas de tableaux circuler sur internet, comme celui-ci qui a le mérite d’être synthétique :
Mais faites-moi confiance : mieux vaut faire plus simple, et de bon sens.
Je vous détaille comment faire chaque mois avec la sélection de plantes et leurs tutoriels de plantations.
Car on peut associer les plantes entre potagères, c’est le secret des pro : les plantes “intercalaires”
Les maraîchers conçoivent leur plate-bande pour être la plus productive possible.
Donc s’ils installent une plante qui met 3 mois à pousser, ils vont la border sur le même espace par une autre qui se récolte dans le mois.
Pour avoir plusieurs récoltes sur la même parcelle.
Résultat en 3 mois, ils auront fait 4 récoltes au lieu d’une.
Faites pareil !
Prenons cet exemple facile à refaire chez vous : radis + salades
En rose, les cultures intercalaires : rapides à récolter (ici le radis 21 jours)
En bleu, la culture principale : récolte 2 à 3 fois plus longue
(jusqu'à 85 jours après le semis pour la laitue batavia)
Cette photo provient d’un jardin d’une élève qui voulait cultiver des radis car elle adore cela et en mange vraiment au quotidien.
D’ailleurs, ces couvre-sol “interculture” peuvent être simplement ornementaux
Comme une variété de thym de 2 à 3 cm de hauteur, ou d’autres fleurs.
Mais il faut aussi les associer avec des fleurs ou des plantes “biodiversité”
Vous savez que dans l’approche du jardinage naturel, de la permaculture, on s’intéresse au jardin dans son ensemble et pas seulement au potager.
Car, à l’image de la Terre, on sait bien que tout est relié.
Un discret tas de bois laissé tout l’hiver dans un coin tranquille du jardin favorise un gîte parfait pour les auxiliaires des ravageurs de la carotte, du choux, des fruitiers etc.
Un coin d’orties au milieu du potager est le garant de coccinelles et de papillons qui dégomment sur place les pucerons avant même qu’ils ne soient trop nombreux, etc.
Ceux qui préfère les associer avec les fleurs ornementales ne seront pas en reste
Ma revue présentera le portrait d’une fleur remarquable au jardin, chaque mois.
C’est l’avantage pour avoir un jardin fleuri même en saison froide :
En sachant d’avance quel bulbe ou graine semer.
Et puis, il y a tant de fleurs mais toutes ne se valent pas pour nourrir les auxiliaires ou les oiseaux.
Aussi belles que nourricières :
Mon critère sera donc premièrement que cette fleur nourrisse vraiment les auxiliaires du jardin :
- soit du pollen
- soit du nectar
- soit des graines
- soit les 3 !
Et il faut ce nourrissage aux 4 saisons car de nombreux auxiliaires sont des migrateurs toute l’année :
- pas seulement les oiseaux
- mais de nombreux insectes et papillons !
Il est donc important de penser à eux, car ils aident passablement à réguler votre jardin contre les ravageurs.
Du donnant-donnant.
Bien, à ce stade, récapitulons ce que vous apportera cette revue au quotidien :
Ma revue associe ces 3 secrets que je vous ai rapidement présentés ici, chaque mois en fonction des saisons :
Pour le moment, ce sont des secrets théoriques, maintenant voici comment passer à la pratique !
Je traite tout ceci dans la section “fiches plantes” de la revue !
Regardez comment s’articule
chaque parution mensuelle :
Le 1er de chaque mois,
recevez cette revue atypique de 32 pages.
Les deux tiers sont consacrés au jardin :
- le potager : ce qu’on peut cultiver en semis ou en plantation, ou en bouturage !
- le jardin : les travaux principaux du mois, les astuces permaculture qui font la différence
- les fleurs et la biodiversité du jardin pour augmenter sa fertilité, sa résilience, son importance écologique
- les auxiliaires du jardin du mois pour augmenter leur présence et leurs aides au jardin
Cette revue jardinage se focalise sur
ce qu’on ne trouve pas ailleurs :
- associations de plantes
- la biodiversité au potager
- uniquement des variétés anciennes
- tutoriels simples pour des résultats rapides
- des conseils adaptés au mois
pour tripler les dates de récoltes
Pour les jardiniers avertis, c’est la joie de découvrir de nouvelles variétés
C’est la fierté de surprendre ses proches, de varier les plaisirs,
de tester de nouvelles cultures à des saisons
que vous n’auriez peut-être jamais osé tester seul.
Regardez comment s’articule
chaque parution mensuelle :
Je commence toujours par la section des semis :
Comme vous le voyez, c’est simple de savoir que c’est un semis ce mois-ci,
grâce à la légende sur chaque fiche légume.
Je vais droit à l’essentiel, avec des informations difficiles à trouver ailleurs
Comme vous le voyez : pas de texte à rallonge ni de tableaux compliqués.
J’aurais pu faire des pages et des pages sur chaque légume, vous vous en doutez bien !
Mais ce n’est pas vraiment cela qui fera la différence dans votre jardin.
Cela peut vous divertir, mais l’important selon moi, c’est la pratique : l’action chez vous.
Que vous vous dites “ah mais c’est super simple en fait, hop je teste ce semis ce week-end !”
Car sinon, on passe un bon moment de lecture mais au fur et à mesure des
semaines, (et des mois !) le jardin ne progresse pas tant que cela, voire pas du tout.
Vous verrez dans mes fiches plantes que je veille à n’utiliser que très peu de termes techniques.
Un enfant de 5 ans pourrait lire la revue, et savoir faire le semis ou la plantation.
Et c’est crucial, car le jargon trop technique prive
un tas de débutants d'abondance : les tutoriels leur semble trop compliqué
alors que c’est simplement l’explication qui l’était.
J'échange volontiers avec
chaque membre de la revue
débutant ou confirmé, comme ici avec Henri :
Mon but : l'entraide !
Via la revue, je vous partage mes années d'expériences en jardinage et surtout en permaculture.
Mais j'apprends aussi beaucoup de vous, des questions (il n'y a aucune question "bête") ou des retours d'expériences des plus confirmés.
C'est passionnant et une belle communauté voit le jour.
J'ai remarqué que, dans ma newsletter ou ma revue, les lecteurs apprécient mon franc-parler, comme si j'étais à table avec eux.
C'est un peu mes origines de "bon sens paysan" qui parle !
Bon sens paysan
avec les détails vécus "qui tuent"
A chaque étape du guide de semis ou de plantation, j’ai pris soin de mettre des
détails qu’on ne partage pas assez alors que c’est ce qui rend le jardin
plus facile à entretenir, à embellir.
Ou tout simplement plus facile pour récolter, par exemple :
Bien des débutants ne se rendent compte que trop tard :
- qu’il est impossible de marcher parmi les cultures de courges ou de courgettes
- il faut vraiment laisser 2 mètres carrés autour d’un seul semis de courge ou de courgette, car les plantes sont coureuses au sol et au port envahissant.
- Résultat : cela peut étouffer les cultures voisines, cela engloutit vos allées,
cela complique passablement la récolte et le risque d'abîmer vos courges en
trébuchant ou en les malmenant dans le transport.
- Ce qui prive les courges de leur vertu de longue conservation…
- qu’il ne faut pas planter vos laitues en un seul jour, mais les étaler…
- etc !
Chaque fiche plante suit
4 temps chronologiques :
1. Je commence toujours
par les variétés anciennes du mois
Il sera facile de les trouver en ligne, de les commander,
pour les recevoir rapidement chez vous.
Les sachets de graines se conservent des années :
il ne faut pas hésiter à faire vos essais jusqu’à vous sentir à l’aise.
Il n’y a aucun gâchis à rater vos semis, de toute manière, il est rare d’avoir un
taux de réussite à 100% (et cela dépend aussi de la qualité des graines).
Selon les potagères et les saisons, je vous recommande 3 à 4 variétés par plante, ainsi vous faites votre choix !
Je prends soin de préciser à chaque fois combien de variétés il existe dans le
monde, pour vous montrer que la magie du jardinage naturel est sans fin.
C’est aussi un coup de pouce pour aider toutes les structures
comme le Réseau Semences Paysannes, à faire connaître et commercialiser
leurs variétés anciennes, si parfaites et méconnues.
2. Ensuite, je précise l’emplacement
et le type de sol
Par emplacement, je donne des conseils de ce genre :
- l’orientation : ombre, mi ombre, soleil ou mi soleil
- le type de sol si la plante a des besoins particuliers, et comment ajouter certains amendements au sol pour faciliter sa culture
- le coin du jardin le plus approprié : en termes de surface, de fréquence (si la plante demande peu d’entretien, autant la mettre plus loin au jardin), de compagnonnage avec les autres plantes que vous avez déjà chez vous, etc.
- la surface qu’il faut laisser entre la plante et les autres plantes, que ce soit sur votre ligne de semis ou au sein de votre plate-bande.
- etc !
3. Naturellement, j’enchaîne avec
le guide du semis
Car même si vous avez le dossier cadeau qui vous donne les bases du semis,
il faut toujours se renseigner sur le cas par cas de chaque plante :
- certaines graines ont besoin d’être trempées quelques heures avant d’être plantées, d’autres pas
- certaines ont besoin d’être paillées, d’autre pas du tout, ou plus tard
- certaines ont besoin d’être enterrées profondément, d’autre très peu
- d’autres doivent être bien tassées, mais pas toutes !
- certaines ont des besoins spécifiques : ajout de sable, d’orties fraîches, de compost mature etc… d’autre rien du tout
- autre détail important : parfois on doit mettre plusieurs graines dans le même trou, parfois pas.
Ce qui évite d’ailleurs de devoir “éclaircir” par la suite.
Éclaircir vos semis signifie simplement qu'il y en a trop qui ont levé !
Il faut faire de la place, ils sont trop collés les uns aux autres.
Bref, même si vous n’avez jamais fait de semis de votre vie :
Ce tutoriel simplifié vous invite à vous lancer sans plus attendre : ce n’est pas difficile.
Et comme la majorité des plantons qu’on nous propose ne sont pas forcément
issus de variétés anciennes et libres, il est primordial pour vous de maîtriser l’art des semis.
C’est le gage de votre autonomie, et aussi de fortes économies à la clé !
Car un planton, c’est simplement un semis qu’autrui a fait pour vous en amont.
Sauf que le planton, il vous le vend X fois plus cher.
Bon à savoir pour l’an prochain :
Il suffisait en février de faire vos semis de tomates à la maison, les repiquer en
pleine terre vers fin mai pour les récolter tout juillet, et jusqu'en novembre selon les variétés.
Miam !
Prenons l’exemple chiffré pour les tomates :
Un sachet de graines comporte en général 50 graines.
Un sachet de graines de variétés anciennes coûte environ 4€.
Soit 8 centimes d’euros la graine, c’est-à-dire le futur planton,
la plante qui vous donnera des kilos de tomates cet été !
Le planton, lui, est vendu en moyenne entre 2€ à 3,50€.
Soit le prix de 50 plantons si on les avait semés.
50 fois plus cher… ça fait réfléchir.
Surtout que votre sachet de graines, vous allez le garder en général 2 ans, voire plus.
Mais il faut le garder dans de bonnes conditions sans changement
de température (idéalement à température constante dans une cave, sans humidité).
Car sinon, le taux de germination des graines fond comme neige au soleil,
et vous pourriez croire que vous n’avez plus la main verte,
alors que c’est les graines qui ne sont plus de qualité.
4. Puis, je vous donne mes conseils
sur l’entretien de la plante
sur les prochaines semaines à venir
Pour faire simple, je les classe en 3 catégories :
- entretien minimal
- entretien modéré
- entretien important
L’entretien minimal c’est une plante qui pousse sans vous !
Je précise selon la plante s’il faut re-pailler en cours de route ou pas,
s’il faut arroser ou pas, mais en général, si elle a un entretien minimal,
c’est qu’elle n’a pas même pas besoin de beaucoup d’eau !
L’entretien modéré c’est qu’il faut vérifier tous les 3 jours
Pour prévenir les maladies, pour arroser, pour tuteurer la plante
éventuellement pour l’aider dans sa croissance.
Etc.
L’entretien important, c’est une plante qui a besoin que vous passiez la vérifier tous les soirs
Arroser, tailler, arracher les feuilles malades, récolter, amender etc…
La plante, sans ces soins quotidiens, poussera peu ou mal.
Cela concerne souvent les légumes-fruits qui nous viennent de
contrées tropicales à la base (tomate, poivron, aubergine etc…).
5. Enfin, je vous donne mes conseils
sur la façon de récolter,
et comment procéder concrètement
Je vous dis combien de temps attendre avant d’espérer récolter
Car les débutants s’étonnent toujours, mais certaines plantes ne se récoltent
que 5 mois après le semis ou la plantation !
D’autres en un temps record, comme les fameux radis de 30 jours.
Parmi la dizaine de potagères que je vous conseillerai chaque mois, je vous conseille de systématiquement prendre :
🟢 au moins 2 plantes à récoltes rapides
🟢 au moins 3 à récoltes normal
🟢 et au moins 4 à récoltes lentes...
... si vous visez le chemin de l’autonomie alimentaire, pour avoir des légumes de garde en hiver.
Ce simple critère d’attente avant de récolter vous aidera aussi à organiser vos plates bandes
Et faire vos choix en famille sur qui on va semer ou planter ce mois-ci !
Surtout si votre jardin n’excède pas 150 mètres carrés.
Dernier conseil des fiches plantes : la façon de récolter
Les débutants ne savent pas bien comment s’y prendre et c’est tout à fait normal
si on n’a encore jamais cueilli quoi que ce soit de sa vie sur pied !
🟢 Faut-il prendre un bout de tige avec, ou pas ?
🟢 Faut-il arracher, ou couper franc avec un sécateur ?
🟢 Comment faire pour les grosses racines ?
🟢 Doit-on laisser la terre sur le légume ?
🟢 Doit-on laisser le pied sur place, ou tout déterrer ?
🟢 Légumes-feuilles : peut-on couper quelques tiges seulement, ou cela fatigue la plante mère ?
- Etc.
Certaines réponses sont intuitives, d’autres pas !
Là encore, je vous aider en vous partageant des conseils de terrain, du vécu, du bon sens.
Pour ne pas vous faire mal au dos ni abîmer la précieuse récolte.
Je vous dis aussi en général comment les conserver plusieurs mois post récolte,
quand c’est le cas (congélation, lacto-fermentation, en jauge au garage, en conserve etc.).
Bref, aussi court que possible pour ne pas vous prendre trop de jus de cerveau,
mais aussi complet que possible pour que vous soyez rapidement autonome.
“La substantifique moëlle” comme disait François Rabelais.
Pour la partie plantation, c’est exactement le même déroulé de la fiche plante :
Vous ne serez pas perdu grâce au pictogramme qui vous indiquera au fil des
pages que vous êtes dorénavant dans la section “plantations” et non plus “semis”.
La seule différence c’est le guide de plantation, au lieu du semi, logique !
Puisqu’on part du planton et non pas de la graine.
Mais là aussi, selon les plantes, il est bon de préciser :
- comment faire le trou très concrètement : largeur, profondeur
- si on met du compost ou pas dans le fond du trou
- si on recouvre de terre jusqu’au “collet” (la base de la tige), ou pas, ou plus.
- si on enterre le planton à la vertical, ou plutôt couché
- si on le paille etc…
A nouveau, tout sera clair comme de l’eau de roche !
Autre point majeur :
le choix des photos n’a pas été fait au hasard
En fait, j’ai constaté que la plupart des livres ou des revues sont assez avares de photos.
Généralement, on nous présente la photo au moment de la récolte, c’est tout.
Pourtant, une image vaut mille mots !
C’est pourquoi pour chaque plante, je mets 4 photos qui retracent son cycle complet 👍 :
Par cycle complet, j’entends le cycle botanique du végétal, de sa naissance à sa mort, ou presque :
1.C’est-à-dire à quoi ressemble sa graine (qu’on parte du semis, ou du planton).
2.A quoi ressemble la plante lorsqu’elle a 2 ou 3 semaines, et qu’elle est repiquée
au potager chez vous, en pleine terre.
3.A quoi elle ressemble adulte, lorsqu’elle est prête à être récoltée
et qu’elle fait sa taille maximale.
4. Et je prends soin de toujours montrer la fleur de la plante !
Ce dernier point est très important, surtout en permaculture !
A part pour les quelques légumes-fruits dont on consomme le fruit,
et donc on a nécessairement vu la fleur en amont….
et bien pour toutes les autres récoltes on ne voit jamais la fleur.
Cela pose 2 problèmes selon moi :
Le premier, c’est que les floraisons des plantes potagères sont parmi
les meilleures pour nourrir les précieux pollinisateurs du jardin.
Surtout les plantes de la famille des Ombellifères (carottes, fenouil, persil,
céleri etc…), mais pas seulement bien sûr.
Or, on les récolte systématiquement avant la montée en fleur.
Le cas le plus flagrant, c’est pour la salade !
Vite vite, il faut récolter “avant qu’elle ne monte en graine” durant les fortes
chaleurs d’été, et donc on coupe les fleurs pour retarder cela.
Mais en général elle monte vite en hauteur et c’est trop tard :
la plante a déjà changé de goût.
Voici à quoi ressemble une salade qui fleurit, bien loin de la version pommée qu'on récolte, n'est-ce pas ?
Il est temps pour elle de se reproduire, si vous lui laissez la chance de faire des graines.
Donc j’encourage toujours à laisser plusieurs potagères fleurir, pour le plaisir de
découvrir leurs discrètes floraisons (tétragone, poivron etc…) ou leur
exubérante fleur (oignon, ail, artichaut etc…).
Et le 2ème problème, c’est que cela nous coupe d’une connexion intime à la nature
Cultiver une plante sans connaître sa graine ou sa floraison,
c’est comme regarder le milieu du film uniquement.
On se prive du sens global, de la beauté de l'œuvre dans son entier.
Donc les 4 photos sur chaque fiche plante sont en fait très éducatives
A force de les découvrir chaque mois, pour une dizaine de plantes,
au fur et à mesure des 4 saisons :
- selon le type de graine, vous acquérez déjà de bons réflexes sur le type de semis appropriés
- selon le type de fleur, vous saurez peu à peu reconnaître la famille botanique de la plante, les regrouper entre elles !
Et maîtriser cela, grâce à des photos sur quelques saisons… c’est gagner des années d’expériences !
Enfin, la partie semis et plantation finit toujours par le bouturage ou le marcottage du mois
Pour vous former selon les saisons aux plantes et aux gestes, techniques et astuces...
...de la multiplication végétale, l’art d’avoir 10 pieds gratuits et en pleine santé
depuis une seule plante existante.
J’en ai déjà parlé auparavant donc je ne vais pas me répéter ici.
Sachez seulement que ceci ne se trouve nulle part ailleurs !
J’ai vraiment fait en sorte de faire une revue 360° pour les débutants
comme les initiés, pour découvrir, s’amuser et récolter toute l’année
pour continuellement obtenir une meilleure version de votre jardinage naturel.
Enfin, finissez la section biodiversité en beauté :
cochez les cases selon vos observations
et regardez si vous en voyez...
de plus en plus dans l’année :
Vous êtes plusieurs à jardiner en famille :
et je suis sûre que cette façon de présenter les principaux auxiliaires qui
peuvent traverser votre terrain, ou y loger, ravira les petits (comme les grands!).
Grâce à ce trombinoscope chaque mois au fur et à mesure des saisons,
vous allez prendre conscience de la diversité des habitants que peut accueillir un jardin naturel.
Et quand on en trouve un, c’est un vrai cadeau de la nature !
On se sent privilégié, et on a à coeur de faire le jardin le plus naturel possible pour qu’ils restent bien chez nous.
Car hélas, la plupart de ces animaux sont sur liste rouge de nos jours.
Oups, j’allais oublier 😅
une dernière rubrique jardinage !
Et pourtant elle est de taille :
On aime tous les “trucs et astuces” en jardinage.
Du coup, je vous partagerai chaque mois une astuce de permaculture :
Cela permet de distiller au compte goutte les principes et techniques de la permaculture.
Mais je ne fais pas que permaculture. Je parlerai du jardinage naturel en général.
Car au final, la permaculture (enfin selon moi!) c’est un mélange des meilleures pratiques ancestrales.
Elles ont pris leur place dans un schéma de pensé global,
qu’on appelle “design” en anglais, pour dire “agencement”.
Pour dire qu’on ne fait pas un jardin au hasard :
mais qu’on réfléchit aux divers agencements du jardin, leur lien, leur complémentarité,
pour maximiser le circuit fermé comme dans une forêt ou une prairie : un écosystème bien portant.
Bref, comme vous le voyez,
ma rubrique jardinage,
c’est déjà toute une revue à part entière !
Pour rappel, j’y aborderai chaque mois :
🟢 permaculture
🟢 potager
🟢 jardin
🟢 fleurs
🟢 récoltes
🟢 biodiversité
🟢 tutoriels de jardinage
🟢 variétés anciennes
🟢 bouturage ou marcottage, ou encore division
🟢 astuces et auxiliaires
Etc !
à ce jour, plus de 200 abonnés ont noté mon travail, ils sont très satisfaits de leurs parutions mensuelles :
Bien, il ne me reste plus qu'à vous présenter rapidement la dernière rubrique BIEN-ÊTRE
de la revue 🙂
Car la dernière rubrique de la revue, c’est du bien-être naturel pour boucler la boucle de la permaculture
D’ailleurs, cela est tout à fait naturel d’en parler dans une revue de jardinage :
Comme je vous le disais, les fondateurs de la permaculture telle qu’on l’entend
de nos jours, ce sont 2 Australiens dont un est encore contemporain (feu Bill Molisson et David Holmgren).
Ils ont notamment légué 3 ouvrages : permaculture 1, 2 et 3.
Ils y expliquent leur vision du design, avec des principes et des techniques qu’il
faut systématiquement adapter au pays, à la région, au microclimat.
Rien à copier, tout à adapter.
Ils avaient aussi expliqué que ce n’est pas une technique de jardinage, mais une nouvelle philosophie de vie.
Un nouveau “paradigme”.
Et ce n’est que quelques années plus tard, qu’on voit surgir dans les événements
de permaculture internationaux la fameuse “fleur de la permaculture”.
Représentant 7 pétales pour 7 domaines où l’on peut dupliquer les principes appliqués au jardinage :
Donc, en somme, avec cette revue, la boucle est bouclée.
Cela a profondément du sens.
Et j’en suis très fière car j’avais à coeur depuis des années de proposer
un format simple et quotidien, pour partager des “trucs et astuces” qui changent le quotidien :
- le moral
- la santé
- l’épanouissement du champs des possibles
Pour rayonner !
La rubrique bien-être s’articule en 2 temps :
Vous trouverez la thématique du mois, souvent adaptée à la saison,
quand c’est pertinent.
(notamment pour les changement de saisons).
Voici un apercu :
Elle traitera dans l’année de ces sujets cruciaux :
- alimentation : comment ça marche
(notamment pour tordre le coup à certaines légendes urbaines sur la nutrition, qui nous prive d’avoir la plus grande valeur nutritionnelle dans nos assiettes, et donc dans nos veines).
- sommeil
- activité physique
- assouplissement
- zen, sérénité, méditation
- relations sociales (couple, famille, boulot)
- etc !
Tout ce qu’on peut faire au quotidien,
sans dépenser des fortunes,
pour aller mieux chaque jour !
L’envie d’avoir un potager rime avec vie saine…
Et pourtant on ne sait pas toujours comment décliner cela dans les autres pans de notre vie.
D’autant plus que certains savoirs ou transmissions orales se perdent dans nos sociétés occidentales.
Prenons un exemple plus simple : la cuisine ou la nutrition
Eh bien si vous n’avez aucun parent qui vous a montré des recettes,
expliqué des choses, notamment sur la cuisson, le lavage des aliments, leur conservation, leur préparation…
En Suisse, les bases de la cuisine et de la nutrition font partie
des cours élémentaires en primaire. Tout comme les bases de la couture !
Avant aussi, en France cela existait.
Mais pas vraiment sous ce format, et cela fait belle lurette que ces savoirs
essentiels ne sont plus diffusés dans l’enseignement populaire.
Pourtant, au moment de décider d’allouer du temps et du budget
pour apprendre à cuisiner, ou à jardiner, cela prend tout son sens !
Mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Je ne parlerai pas que d’alimentation, vous l’avez compris !
L’objectif : découvrir, mais surtout,
tester au quotidien !
Là encore, j’ai la même démarche que dans la partie jardinage :
Je veux que cette revue ait réellement un impact concret sur votre quotidien.
Droit à l’essentiel, avec 1 ou 2 défis pour tester l’astuce bien-être du mois
Donc après la partie vulgarisation de la thématique du mois, je vous propose un défi concret.
Généralement, le défi implique de pratiquer l’astuce sur plusieurs jours, pour donner toutes ses chances au test.
En effet, on ne peut pas vraiment savoir le résultat si on ne teste / ingère / pratique qu’une seule fois quelque chose.
Car le corps est comme le jardin :
un écosystème où tout est relié
Il faut donc lui laisser le temps que l’ensemble des interactions puissent agir, pour donner un premier résultat.
Si le test (alimentation, bien-être, moral, santé etc.) vous plaît, alors c’est gagné !
Vous pourrez l’ajouter dans votre boîte à outils pour l’utiliser dès que besoin.
Vous pourrez aussi le recommander à vos proches,
ceux qui seraient dans le même cas que vous,
surtout si on parle d’un sujet “tabou”
J’aime mettre les pieds dans le plat lorsqu’il s’agit de reprendre en main sa vie :
on n’en a qu’une !
Si le test n’est pas concluant pour vous, c’est gagné aussi !
Car pour le savoir, il fallait le tester.
C’est l’expérience qui enrichit notre personnalité, notre sagesse, notre vie.
Je vous garantie qu’il n’y aura que des exercices bienveillants : vous me connaissez 🙂
Donc 1 an d’abonnement à la revue, c’est déjà 12 à 24 nouveaux outils bien-être acquis à vie !
Le genre de pratiques d’hygiène de vie qu'on transmet
de génération en génération.
J’ai vraiment hâte d’avoir votre retour sur cette rubrique si originale !
D’ailleurs, c’est évident
et c’est une grande force :
cette revue est 100% vivante et “évoluable”
par ses abonnés :
Car il ne s’agit pas d’un très gros éditeur national ou international qui traduit son programme et le diffuse sur tous les canaux possibles (librairies, presse des aires d'autoroutes ou de supermarchés, Fnac etc…)
Non non c’est tout le contraire : c’est moi toute seule qui la créé depuis mon jardin ou mon salon
Pour mes lecteurs qui sont si bienveillants et avides de conseils, d’entraide.
Vous le savez bien car vous êtes un certain nombre à le faire : vous pouvez me joindre à tout moment
Il suffit de répondre par email à n’importe quel email que je vous ai envoyé.
Cela paraît bête à rappeler, mais c’est si rare qu’il faut le souligner :
Je ne suis pas un robot ni un grand groupe : je vous écoute et je réponds à chacun.
Je suis comme vous.
Donc concrètement,
cela signifie que la revue peut faire
du “sur mesure” pour sa communauté !
Jardinage : vous pouvez me faire part des plantes que vous avez déjà au jardin, ou que vous souhaitez avoir (potagères, fleurs).
Je les prendrai évidemment en compte pour les conseils que je peux donner dans l’année !
Bien-être : j’ai déjà de nombreux retours sur les thématiques bien-être que vous aimez, grâce à ceux qui ont répondu au sondage.
Mais vous pourrez toujours m’écrire pour enrichir cette liste de souhaits.
Et à nouveau, en fonction de mon vécu et de mes connaissances,
je les traiterai avec grand plaisir !
Recevez le numéro du mois gratuitement !
Ma revue est mensuelle, le 1er de chaque mois, vous recevez votre parution de 32 pages par email.
Le format papier sera bientôt disponible à une condition : qu’on soit suffisamment nombreux à avoir pris la version numérique en amont.
L’imprimeur m’impose un certain seuil de commandes afin de procéder aux impressions et livraisons mensuelles à domicile.
Et plus on sera nombreux, plus les frais de livraison peuvent baisser !
C’est donc hyper important de jouer le jeu et de prendre en premier la version numérique, afin de pouvoir basculer en format papier dès que possible.
La revue fonctionne par abonnement annuel, afin de vous garantir un suivi sur les 4 saisons.
L’idée c’est que vous testiez sans engagement sur vos 2 premiers numéros, qui sont carrément offerts.
Oui, c’est une offre exceptionnelle que je propose à nouveau ce mois-ci mais elle ne restera pas si longtemps en ligne.
Normalement, ma revue annuelle coûte 39€ pour 12 numéros.
🎉Mais je vous propose une réduction exceptionnelle de 30% ces jours-ci ! 🎉
Ce qui revient à ne payer que 27€ pour 12 numéros, soit 2 numéros OFFERTS dans votre abonnement.
A l’issue des 2 premiers mois, vous aurez largement pu faire votre avis sur ces 2 numéros saisonniers.
Et si vous ne souhaitez pas donner suite, il suffira de m’écrire à Florence@secondenature.com
La revue fonctionne par abonnement annuel.
Donc dès que vous vous abonnez, vous savez que vous recevrez 12 numéros sur les 12 prochains mois à venir.
En fait, vous recevrez 12 numéros mais vous n’en payez que 10 seulement :
Vous avez bien lu, j’ai décidé d’offrir vos 2 premiers numéros,
de manière exceptionnelle,
🎉 :
Là encore, je crois bien que cela n’existe nulle part ailleurs.
Pourquoi je fais cela ?
Les lecteurs qui me connaissent depuis au moins 1 mois sont nombreux à m’avoir déjà commandé un livre (le Grand Calendrier, ou la Trilogie), et ils en sont satisfaits.
Ils connaissent la qualité de mes contenus,
et leur systématique garantie satisfait ou remboursé.
Ou encore, ils m'ont écrit, je leurs réponds : ils savent que je suis une personne de confiance !
Mais pour d’autres personnes, ce sera peut-être leur premier achat chez Seconde Nature, et sur internet, on n’a toujours peur des arnaques
Je comprends ces personnes et je fais donc au mieux pour les rassurer !
Plutôt que de proposer ma revue avec sa garantie satisfait ou remboursée le premier mois, je vous propose encore mieux.
Encore mieux : vos 2 numéros offerts sur les 12
+ 2 mois de garantie satisfait ou remboursé !
Concrètement :
1. Vous recevrez votre premier numéro (le numéros du mois) immédiatement dans un email de confirmation.
2. Puis, le second numéro le 1er du mois prochain.
3. Si vous en êtes satisfait : alors l’abonnement se poursuit et vous recevrez vos 10 prochains numéros, 1 par mois, pour couvrir les 4 saisons
4 .Mais si pour une raison X ou Y vous ne pouvez malheureusement pas honorer la suite de votre abonnement, alors aucun souci :
Comme je vous propose une garantie satisfait ou remboursé allongée de 2 mois, il sera encore temps pour m’écrire et je vous désabonnerai.
Dit autrement, cela signifie que c’est uniquement moi qui prends tous les risques :
Car si je tombe sur des personnes malhonnêtes...
elles recevront gratuitement leurs 2 premiers numéros,
+ leur foule de cadeaux,
puis elles demanderont un remboursement et en sommes elles auront tout reçu gratuitement.
Mais je vous fais confiance, je sais que vous serez de bonne foi !
Ce qui est très fort dans ma proposition, c’est que non seulement vous n’avez rien à craindre (aucune arnaque possible vu ce que je vous propose)
mais en plus cela vous permet de vous faire votre avis, et au meilleur moment de l’année !
C’est vraiment une belle proposition, généreuse.
Ces numéros découvertes couvrent
la période phare du jardin !
Celles où tout se joue : travaux du sol, entretien des plantes, design du jardin, choix des semences, récolte, anticipation des récoltes des 2 prochaines saisons, etc.
Bref, le meilleur moment pour être accompagné.
Le prix actuel pour chaque numéro numérique de 32 pages vaut 3,25 euros la revue. Soit un abonnement de 39€ pour 12 prochaines revues.
Sauf que comme je vous l’ai dit, vous n’allez pas payer ce prix :
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vous avez une réduction de 30%
en ce moment !
Vous payez pour 10 numéros, mais vous en recevrez 12, et vous avez 2 mois pour tester sans engagement !
Parcourons-les rapidement, ils ont été concus pour être complémentaires avec la revue mensuelle, pour donner les bases et bien procéder dès le départ, quelle que soit la saison de votre abonnement.
Livret 1 : Le guide du semis intégral (23 pages) :
La garantie de comprendre et réussir vos semis, la base en jardinage
Au programme :
🟢le matériel requis,
🟢les différents types de semis en intérieur et en extérieur,
🟢les erreurs courantes
🟢et plus de 10 pages de conseils inédits, chronologiques, pour réussir chaque étape du semis, quelle que soit la technique retenue
Livret 2 : Le guide des plantations (16 pages)
La garantie d’avoir les bons gestes pour une plante qui fructifie beaucoup plus vite
Au programme :
🟢le matériel requis,
🟢les différents types de plantations
🟢les erreurs courantes
🟢et plus de 7 pages de conseils inédits, chronologiques, pour réussir chaque étape de la plantation, quelle que soit la technique retenue
Livret 3 : Le guide de la multiplication végétale :
bouturage, marcottage et division (13 pages) :
L’assurance d’avoir des plantes gratuites toute l’année.
Au programme :
🟢 le matériel requis,
🟢 les différents types de multiplications végétales
🟢 plus de 10 pages pages de conseils inédits pour réussir chaque technique : le bouturage, le marcottage, la division de touffe ou de bulbes.
🟢On peut les faire presque toute l’année, il suffit d’avoir les bases pour oser vous lancer.
Je vous invite d’ailleurs à le lire dans cet ordre :
1. en premier le guide du semis,
2. puis des plantations,
3. puis de la multiplication végétale.
Cela a du sens pour mieux intégrer le cycle entier de la plante au jardin.
Livret 4 : Le guide de la température du sol (12 pages) :
Le plein d’informations inédites,
pour maximiser vos semis et plantations
Au programme :
🟢 comment reconnaître la température du sol et pourquoi c’est si utile
🟢 mon application préférée pour savoir la température de VOTRE sol, 100% gratuitement et à tout moment de l’année
Pourtant, il sera crucial pour adapter mes conseils à votre climat local :
Trop de revues ou de jardinage mentionnent des dates de culture comme si on vivait tous dans la même région…
Pourtant, selon l’altitude, le département, le microclimat...
... on ne vit pas du tout la même météo, la même année, la même saison de jardinage.
Alors comment faire ?
Il y a 2 facteurs importants à prendre en compte,
pour être sûr que les dates que je vous communiquerai vous correspondront, ou comment les personnaliser.
N°1 : bizarrement, personne n’en parle aux jardiniers amateurs
C’est la température du sol !
Les professionnels (agriculteurs, maraîchers etc…) le savent bien.
Ils ne se fient pas uniquement aux calendriers ou aux prévisions météo changeantes.
Ce qui fait foi : c’est la température du sol.
Surtout quand on parle de semis, comme le font en masse les agriculteurs.
C’est la température du sol qui détermine si la graine semée va germer rapidement, ou pas.
Bien sûr la température de l’air joue également, mais moins que ce que l’on pourrait penser.
Les chambres d’agriculture précisent cette température au sol pour toutes les plantes !
Il est très facile grâce à internet de trouver ces informations pour chaque plante.
Mais pour trouver la température de VOTRE sol en temps réel… comment faire ?!
J’ai une astuce pour vous.
Je m’en sers personnellement.
En fait, c’est une application smartphone qu’utilisent les agriculteurs en Suisse.
Mais j’ai fait le test : elle fonctionne très bien pour la France.
Où que vous soyez en France, il suffit d’être connecté à votre téléphone.
L’application se base sur les données agricoles de la station la plus voisine.
Cette application est gratuite ! Ne vous en privez plus.
Je trouve que c’est le plus facile, sinon vous pouvez acheter un thermomètre à sol.
Sinon, il faut aussi prendre en compte votre région bien sûr.
Je détaille tout cela dans ce guide offert !
Ainsi, zéro doute :
OUI la revue permet à n’importe quel jardinier de France
(de Belgique ou de Suisse d’ailleurs) de jardiner en cohérence avec ses spécificités locales.
Vous découvrirez tout cela dans votre espace client :
Ceux qui ont déjà passé une commande chez Seconde Nature connaissent déjà cette interface.
L'espace personnel est une meilleure garantie pour vous :
- il stockera à vie, gratuitement, tous les contenus achetés
- vous pourrez les consulter à tout moment, et les télécharger autant de fois que vous le souhaitez
- pas de mauvaise manipulation : tout est sauvegardé dans votre espace
- c'est en somme votre bibliothèque numérique Seconde Nature : vous y trouverez toutes les vidéos et tous les PDF, classés par produit, lors de vos achats.
Bien, je crois vous avoir assez présenté
les conseils de saisons, et ma revue unique pour y arriver avec l'entraide Seconde Nature !
Peut-être un rapide dernier mot à mon sujet, pour celles et ceux qui découvrent mon travail et mon univers pour la première fois.
Vous me connaissez, je m’appelle Florence :
et je vous écris dans ma newsletter depuis plusieurs semaines ...
voire plusieurs des mois selon certains lecteurs !
J’ai créé l’entreprise Seconde Nature dans le but :
- d’aider les particuliers à se reconnecter au bon sens naturel au quotidien,
- au jardin grâce à la permaculture,
- et dans la vie de tous les jours,
- grâce au développement personnel et à la santé naturelle.
J’ai coaché un tas de débutants dans leurs jardins, chez eux :
Voici d'autres retours plus récents, sur les 10 derniers jours :
Presque que des avis 5 étoiles 💓 :
Vous pouvez leur faire confiance, me faire confiance.
Et moi aussi je vous fais confiance avec une telle garantie de 2 mois gratuits sur la Revue mensuelle.
La revue jardinage & bien-être
Récapitulons ce que vous allez obtenir
tout de suite
En souscrivant maintenant :
--> Vous recevez immédiatement par email vos 4 cadeaux de bienvenue dans la revue !
Une valeur de 19€ OFFERT, (plus de 50 pages ces 4 livrets thématiques) :
--> Vos parutions sont envoyées automatiquement le 1er de chaque mois !
--> D'ici 2 mois, vous déciderez si vous souhaitez continuer l’aventure ou non, comme vous bénéficierez de votre garantie satisfait ou remboursé jusqu'à 2 mois après l'achat.
--> Puis, chaque mois, vous recevrez votre revue et de belles surprises !
Simple, clair, transparent, comme d’habitude !
4 raisons de ne pas passer à côté :
Il ne faut surtout pas hésiter : profitez de cette belle offre exceptionnelle🎉
Profitez-en maintenant, c'est vraiment pile le bon moment pour le jardin :
● En cliquant sur le bouton ci-dessus, vous serez redirigé vers le bon de commande sécurisé (paiement en carte bancaire. Pour les paiements par virements bancaires, il faut m'écrire : florence@secondenature.com)
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● Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas à m’écrire par email à florence@secondenature.com
A tout de suite !
Florence
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