En ce moment, c'est (vraiment)

la meilleure saison au jardin :

🟢Pour débuter en permaculture, quel que soit votre "niveau" de jardinage

🟢Pour semer les variétés anciennes de semences, celles qui résistent vraiment à la saison froide, pour continuer de se régaler jusqu'au printemps

🟢Pour faire votre cure du sol pour le fertiliser 100% naturellement, c'est surtout en automne-hiver qu'on le fait, et chaque année.

🟢Pour concevoir de nouvelles plates-bandes directement en associations de plantes (potagères + fleurs, mais pas que).

C'est pourquoi vous avez le droit à

3 revues 100% garanties satisfait ou remboursé

Vous êtes encore plutôt récent à bord de l'Aventure Seconde Nature, ma newsletter quotidienne.

Merci encore d'en faire partie 😍

Peut-être que certains d'entre vous ne le savaient pas encore :

Depuis 17 mois à l'heure où j'écris ces lignes, je crée et j'édite ma propre revue mensuelle de 32 pages, uniquement pour ses abonnés qui sont des lecteurs comme vous.

Des jardiniers archi débutants comme des expérimentés de plus de 50 ans de jardinage, c'est une superbe communauté.

Des centaines de jardiniers en profitent !

Voici quelques récents retours :

C'est pourquoi, ici, je vous partage

2 astuces super importantes,

qui font que même les débutants

récoltent 2 fois plus

que leurs voisins qui jardinent “classiquement”

et je vous présente aussi plus bas en quoi ma revue peut vous y aider !

Conseil n°1 :

Ne tombez pas dans le piège "des saisons"

Dans la Nature, il y a toujours une activité foisonnante, même en saison froide d'ailleurs, car le sol ne gèle pas passé quelques centimètres.

Dans les jardins permaculture non plus : on y cultive (et récolte 365 jours de l'année) : perma-culture vient d'ailleurs de l'anglais pour dire permanente culture !

Bien sûr, il ne faut pas faire n’importe quoi.

Et surtout, il faut sélectionner les variétés anciennes et adaptées à la saison locale de chez vous.

Cela demande une expertise que je partage avec plaisir aux lecteurs de ma newsletter Seconde Nature.

Lisez bien toute cette lettre si :

➕vous souhaitez augmenter vos récoltes dès le printemps prochain

➕votre jardin a besoin d’une bonne cure de régénérescence

➕vous découvrez la permaculture

➕vous découvrez le jardinage tout court

➕vous souhaitez en faire un peu moins au jardin, pour vous préserver

➕vous mourrez d’envie de retrouver des légumes dignes de ce nom : avec les saveurs d’antan, les odeurs vives et une qualité nutritionnelle inégalée

Vous êtes au bon endroit, c’est parti 🙂

Les jardiniers classiques se contentent d'ailleurs de choyer le jardin aux beaux jours, mais, alors que ca paraît contre-intuitif, c’est plutôt en automne-hiver, et au sortir d'hiver, que tout se joue !

Le reste de l'année, on est censé en récolter les fruits !

On croit que tout est en pause jusqu’au prochain printemps, puisqu’à sa surface tout semble au ralenti, les feuilles sont tombées, etc.

Voici par exemple ce qu’on ignore souvent sur cette saison phare d'intersaison :

🟢 Le sol ne gèle pas (passé 5cm de profondeur), il a même un température constante toute l’année selon une certaine profondeur, où vont les racines d’ailleurs.

💡 C’est d’ailleurs pour cela que les vers de terre peuvent survivre aux hivers (les épigés qui vivent “en surface) ou les limaces, qui hivernent chez vous en s’enterrant à quelques centimètres dans votre sol.

🟢 Si les feuilles tombent des arbres, c’est parce que la sève retournent dans les racines et que les racines sont justement pleinement actives ! C’est en automne-hiver qu’elles investiguent les profondeurs du sol.

💡 C’est d’ailleurs pour cela qu’on recommande fortement de planter les vivaces, les arbres ou arbustes plutôt en automne-hiver (hors janvier) pour qu’elles aient le temps de créer un système racinaire costaud avant le printemps.

🟢 En fait en cette saison, le sol en entier est pleinement actif à digérer encore plus tout ce qui est à sa surface (paillage par exemple), ou en profondeur : racines de plantes mortes etc.

💡 C’est d’ailleurs pour cela que je recommande toujours de récolter en laissant les racines dans le sol, ou à la surface, en cette saison, pour rendre au sol les nutriments.

🟢 C’est notamment ce processus qui nourrit, aère et structure le sol pour qu’il soit naturellement fertile et bien portant pour les 3 prochaines saisons de hautes cultures !

Donc la première chose, c’est de pailler,

mais à fond !

Important, il y a 2 zones à distinguer pour le paillage :

🟢celle des cultures

🟢et les autres à quand même pailler

Pour la zone des cultures :

Je vous ai fait un dossier CADEAU très détaillé d'une dizaine de pages, selon si paillage du semis, selon les plantes, selon le matériau du paillage etc.

Pour les autres zones du jardin :

Je pense aux massifs de fleurs, sous les haies, autour des arbres,

et aussi aux futures zones de potager, et surtout les zones à désherber.

Pour ces zones à préparer d'avance pour avoir une belle terre fertile sans "mauvaise herbes", vous pouvez pailler PUIS rajouter une bâche par-dessus, pour accélérer la décomposition.

Voici par exemple chez Dominique, un abonné de la Revue Seconde Nature :

Conseil n°2 : semez des engrais verts non gélifs

Rapide explication si je vous parle chinois en disant "engrais vert".

Alors, on parle “d’engrais VERTS” car on utilise des plantes vivantes comme culture temporaire dans le sol afin de l’améliorer, comme si on lui mettait de l’engrais.

L'idée c'est de restituer la plante en entier au sol, en la fauchant ou en la laissant sur place de sa belle mort, racines laissées au sol.

Ceux qui connaissent ce concept, le font presqu'uniquement en automne-hiver :

C'est une bonne idée car c'est là que le sol se repose.

Mais en fait, on peut en faire toute l'année.

Surtout quand on a besoin que son sol soit fertile, lui faire des cures de jouvence dans l'année.

Les deux moments à le faire absolument c'est en automne et au printemps, mais sinon : n'importe quand dans l'année !

C’est l’ancien principe des friches ou de la jachère :

où après une culture on laisse au repos la terre en laissant les plantes spontanées y pousser un certain temps, ce qui travaille et nourrit le sol sans perturbation.

Le concept un peu modernisé consiste à sélectionner les plantes qu’on veut y installer, au lieu que ce soit des graines spontanées du sol.

Ici, on voit un semis de vesce réalisé par Micheline, également abonnée à La Revue Seconde Nature :

Dans les mélanges de graines pour réaliser vos engrais verts, on peut dire pour faire simple que ce sont toujours les plantes parmi ces 4 familles botaniques :

  • les Astéracées (de nombreuses fleurs)

  • les Graminées (le seigle, le ray-grass, le sarrasin, etc.)

  • les Fabacées (la vesce, le trèfle incarnat, la féverole, le sainfoin, etc.)

  • les Brassicacées (la moutarde, le navet, le colza, les choux, etc.)

Bien sûr, il y a d'autres familles utiles, comme les Boraginacées avec la phacélie ou les familles des Hydrophyllacées, des Polygonacées, ou encore les Linacées.

Mais disons qu'avec ces 4 familles, vous êtes paré.

Je vous recommande d'utiliser les mélanges tout prêts des jardineries, car non seulement c'est pratique, mais en plus on est sûr d'apporter tout ce qu'il faut au sol grâce à leurs systèmes racinaires différents.

Dernier conseil, aussi évident que peu appliqué par faute de connaissances :

c’est de semer quasiment chaque jour de l'année, avec bien sûr des variétés adaptées à chaque saison

😍 🙂Je vous guiderai justement sur tout cela chaque mois car en plus, les variétés anciennes, c'est MA spécialité 😍 🙂

Et bien sûr, dans mes revues mensuelles, je détaille pour chaque plante du potager et du jardin :

guide complet du semis, de la plantation, de l'entretien, de la récolte, des boutures, tous les petits gestes faciles et les astuces perma'

pour une abondance étalée aux 4 saisons !

"Florence, il fait trop froid chez moi pour cultiver sans abri jusqu'au prochain printemps !!"

En fait, oui ET non... car si on s'y prend à la bonne période, on peut tout à fait encore faire nos semis de potagères non gélives (qui résistent au gel).

Exemples de potagères qui résistent le mieux au gel (jusqu'à -8°C) :

  • radis d’hiver

  • poireau d’hiver

  • mâche

  • échalote, ail, oignon, etc

  • ou encore les choux ou les carottes

D’autres supportent entre 0°C et 3-4°C max, par exemple la betterave ou le céleri.

Encore mieux : parfois il suffit de prendre la variété ancienne d'hiver, pour continuer de cultiver !

Exemple : on peut cultiver du radis toute l’année, mais pas avec les mêmes variétés.

L’été j’aime semer “le radis rond de 30 jours”.

Mais en automne cela n’aurait aucun sens : il ne supporte pas le gel et va se fendre de l’intérieur.

C’est pourquoi je préfère ces variétés :

🟢radis violet de Gournay

🟢radis noir rond d’hiver

🟢ou encore la très ancienne variété “radis rose d’hiver” qui vient de Chine. C’est un radis très long qui me fait penser aux carottes, et qui a la particularité de bien se conserver des mois !

Autre exemple ?

Prenons le cas de la mâche, la si délicieuse mâche que l'on peut récolter toute l'année (vous m'avez bien lu).

🟢 en janvier et en février vous récoltez la variété “ronde maraîchère”

🟢 en mars vous récoltez la variété “verte de cambrais” ou encore “coquille de louviers”

🟢 de mai à septembre, vous récoltez la variété “palmarès”

🟢 puis en automne hiver, vous récoltez la variété “d’Italie”

Sachant qu’un sachet de mâche coûte 2 à 3,5€, et qu’il dure 5 ans : c’est ultra rentable !

Car dans ce seul exemple, avec seulement 2 variétés vous récoltez toute l’année :

- 6 mois de beaux jours avec la variété “palmarès

- puis 6 mois de saison froide où l’on récolte la variété “coquille de louviers”

Si vous appliquez ces premiers conseils ces prochains jours, vous verrez que vous allez considérablement augmenter vos récoltes pour la prochaine saison !

D’ailleurs, pour chacune de ces techniques ancestrales, il y a des règles, des astuces et des erreurs à ne pas commettre !


C’est pourquoi je traite chacune de ces techniques à fond, dans un livret de bienvenue d’accueil.



Voici vos 3 livrets thématiques OFFERTS

à recevoir immédiatement,

pour partir sur les mêmes et bonnes bases
semis - plantation - bouturage :



Rentrons rapidement dans le détail car ils sont pépites !


J’ai fait en sorte de faire le guide le plus concret, chronologique et succinct possible,


pour rendre la chose aussi attractive qu’intuitive.


Je pense que même les jardiniers avertis auront glané quelques astuces précieuses.


Livret 1 : Le guide du semis intégral (23 pages) :


La garantie de comprendre et réussir vos semis, la base en jardinage

Au programme :


- le matériel requis,


- les différents types de semis en intérieur et en extérieur,


- les erreurs courantes


-et plus de 10 pages de conseils inédits, chronologiques, pour réussir chaque étape du semis, quelle que soit la technique retenue


Livret 2 : Le guide des plantations (16 pages) :


La garantie d’avoir les bons gestes pour une plante

qui fructifie beaucoup plus vite

Au programme :


- le matériel requis,


- les différents types de plantations


- les erreurs courantes


- et plus de 7 pages de conseils inédits, chronologiques, pour réussir chaque étape de la plantation, quelle que soit la technique retenue



Livret 3: Le guide de la multiplication végétale

bouturage, marcottage et division (13 pages) :



L’assurance d’avoir des plantes gratuites toute l’année

Au programme :

- le matériel requis,

- les différents types de multiplications végétales

- plus de 10 pages pages de conseils inédits pour réussir chaque technique : le bouturage, le marcottage, la division de touffe ou de bulbes.

On peut les faire presque toute l’année, il suffit d’avoir les bases pour oser vous lancer.

Je vous invite d’ailleurs à le lire dans cet ordre : en premier le guide du semis, puis des plantations, puis de la multiplication végétale.

Cela a du sens pour mieux intégrer le cycle entier de la plante au jardin.

Bien sûr, dans ma revue, je ne vais pas parler uniquement du potager.

J’en parlerai beaucoup, car l’important est de récolter bien sûr.

Mais l’essentiel est ailleurs : c’est de veiller chaque mois à son équilibre.

Je ne fais d’ailleurs pas vraiment la différence entre la santé du jardin et celle du jardinier

Car pour moi, tout est dans tout !

Par exemple :

- de la qualité du sol (et donc de comment on l’entretient) dépend la valeur nutritionnelle de ce que vous mangerez de vos récoltes, et donc de votre santé.

- de l’état de santé de vos plantes dépend votre moral à vous investir au jardin

- de la résilience de votre jardin dépend votre fatigue musculaire : mieux il se porte, moins vous avez de tâches ingrates et fatiguantes au jardin.

- Si votre jardin est beau, accueillant, abondant, vous en êtes fier !

- Si c’est la jungle malgré vous, ou que rien ne pousse facilement, la lassitude et l’énervement sont au RDV, et c’est bien normal.

C’est pourquoi je parlerai aussi des plantes biodiversité et des auxiliaires du jardin, pour que chaque mois votre jardin s’agence au fur et à mesure comme un puzzle.

Je livre chaque mois des trucs et astuces inédits, exemple :

Ecoutez-les :

Micheline témoigne :

"Je constate que je n’ai plus le rendement souhaité d’où mon affiliation à votre revue.

J'ai 78 ans et je cultive avec mon mari depuis 2011"

Marie témoigne :

"J'ai créé mon potager bio en 1980, l'année où mon mari et moi avions emménagé dans une ancienne ferme.

Le potager est mon domaine. Votre philosophie me plaît.

Malgré mes 78 ans, mon expérience et toute la satisfaction que m'apporte ma terre devenue vivante et riche en biodiversité, je cherche toujours à apprendre.”

Xavier témoigne :

“Mon potager fait 700m2. Je suis déjà un jardinier confirmé mais je me suis abonné car je pense que votre approche va m’apporter une nouvelle manière de faire.

J’ai lu vos premières pages et vos conseils commencent déjà à me servir.

Je vous enverrai une photo de mon jardin prochainement.”

Et bien sûr, voici d’autres témoignages de jardiniers complètement débutants 👏 :

Clara témoigne :

“J’apprends tellement grâce à vous, quel bonheur !!!

Je cherchais depuis longtemps quelle revue, quel moyen pour avoir la bonne info, le bon conseil au bon moment, et vous voilà !!!

Cette année grâce à vous, je me suis lancée pour de bon dans un mini potager avec l’idée de ne pas y passer un temps monstrueux.

Et j’avoue que pour l’instant, c’est sur la bonne voie.

Merci encore, mille mercis !!!”

Sonia témoigne :

“C’est toujours avec une grande joie que j’ouvre le mensuel qui est une mine d’information qui me sont bien utiles.

J’apprécie votre plume légère, intéressante, les valeurs du respect de la vie que vous prônez et surtout le pourquoi du comment comme on dit chez nous.

J’aime aussi les alternatives proposées, cela permet à chacun de travailler à sa façon, mais avec les bonnes méthodes.

Merci infiniment pour tout ce travail et ce partage fait avec amour et passion.

Vivement le prochain mensuel !”

Claire H. témoigne (témoignage d'été que je mets ici car très inspirant je trouve)

“J'ai dévoré, ce matin, la revue du mois de juillet!

Quelle perspective... préparer des légumes pour l'hiver dès maintenant…

Ça ne m'est jamais venu à l'esprit, déjà que je me lance tout juste cette année sur des plantes potagère pour l'été ! [...]

Bonne journée à vous et merci pour vos bons conseils qui rendent l'investissement au jardin si simple!

Comme eux, dorénavant, recevez
cette revue atypique de 32 pages tous les mois.

Le petit compagnon aux 4 saisons.

Les deux tiers sont consacrés au jardin :


- le potager : ce qu’on peut cultiver en semis ou en plantation, ou en bouturage !


- le jardin : les travaux principaux du mois, les astuces permaculture qui font la différence


- les fleurs et la biodiversité du jardin pour augmenter sa fertilité, sa résilience, son importance écologique


- les auxiliaires du jardin du mois pour augmenter leur présence et leurs aides au jardin


Cette revue jardinage se focalise sur

ce qu’on ne trouve pas ailleurs :


- associations de plantes

- la biodiversité au potager

- uniquement des variétés anciennes

- tutoriels simples pour des résultats rapides

- des conseils adaptés au mois

pour tripler les dates de récoltes


En fait, j’ai regardé vos besoins dans les sondages,


j’ai regardé ce qui existe actuellement en termes de revues de jardinage


et c’est vrai que j’ai été assez frappée.


La plupart des revues

(ou des livres de semis ou de plantation)

ne précisent pas le plus essentiel :

à savoir : le type de variété par plante, et bien sûr des variétés anciennes.


Au contraire, soit ils ne précisent pas si la variété et une F1 ou non,


soit ils s’en targuent alors que c’est le symbole même de la mort


de l’agriculture vivrière et des sols.




Rapide explication :


Aujourd’hui, on a plus de 50 ans de recul sur les pratiques intensives de l’agriculture post guerre mondiale.


On sait qu’elles sont mortifères pour les sols, pour la valeur nutritionnelle des aliments, pour toute la faune et la flore.


On le SAIT !




On sait aussi que les graines “F1” font partie de cet arsenal mortifère :


Non seulement ces graines ne nourrissent pas les sols (elles n’ont pas de microbiote dans leur enveloppe, comme les vraies graines naturelles).


Elles ne sont pas faites pour faire face aux aléas climatiques


(elles restent moins d’un an dans le sol, et elles sont accompagnées d’un tas de pesticides et d’engrais, car seules dans un sol labouré, elles ne peuvent plus survivre).


Elles sont brevetées, créées en laboratoires, sélectionnées pour répondre aux besoins du grand capitalisme


(produire plus, se conserver plus, au détriment de la qualité, du goût, de la santé).


Les agriculteurs n’ont pas le droit de semer ou planter autre chose que ces graines F1 répertoriées dans un “catalogue officiel” qui fait froid dans le dos.




Seuls les jardiniers, les particuliers, échappent provisoirement à ce diktat infâme du lobby agro-pharmaco


Car vous comme moi, nous avons le droit de ne pas acheter de graines F1.


Pourtant, les jardineries nous en vendent à gogo, souvent sans le préciser.


Les jardiniers mêmes débutants découvrent tôt ou tard que ces graines sont assez bizarres :


- la première année tout va bien,


- mais quand les mêmes graines de la plante en terre poussent à nouveau l’année suivante : c’est la stupeur !


- toutes les qualités de la plante ont disparu : c’est tout sauf normal, ni naturel.




Des graines kleenex quoi, de la consommation à gogo


Et c’est fait exprès : pour forcer à la vente chaque année.


Sorte d’obsolescence programmée… sur le vivant.



C’est pourquoi je mène personnellement un combat pour sensibiliser


sur l’importance des variétés anciennes des graines, surtout pour les jardins.


On peut dire que j’ai eu plusieurs vies, et dans l’une d’entre elles je me suis


passablement formée sur ce sujet.


J’ai travaillé avec les plus grands noms parmi les militants qui sauvegardent les


variétés anciennes en France.




Je les ai côtoyé pendant des années, j’ai travaillé avec eux.


J’ai vu de près leur conservatoire de semences, les itinéraires techniques qu’ils


utilisent pour faire vivre ces graines dans les sols très fréquemment. Etc !




Pourquoi j’insiste tant sur les variétés anciennes ?


En fait, à partir du moment où la variété n’est pas F1, c’est bon !


Toutes ces graines libres l’ont toujours été, de nos plus anciens ancêtres


jusqu’aux années 1945.




On parle de “variétés de population” ou de “semences paysannes”.


Parmi ces semences paysannes, j’aime beaucoup recommander les variétés

anciennes car ce sont celles qui ont fait leur preuve sur des centaines d’années !




Ce sont les meilleures en goût et en résistance pour les changements climatiques que l’on connaît !


Et comme une plante fournit des milliers de graines, chaque année, chaque


plante vous donne l’abondance à vie, comme c’est le cas dans la Nature par définition.




Avec les variétés anciennes, libres de droit, vous n’avez que des avantages.


Je m’étonne donc qu'on n'en parle pas plus.


Cela demande de les connaître, certes.


Mais certains éditeurs de grande référence, qui ont pignon sur rue dans les plus


grandes librairies de France… mentionnent passablement de variétés F1 dans


leurs guides sur le jardinage, et je n’en crois pas mes yeux !



Chaque mois, je vous ferai découvrir

une dizaine de variétés anciennes,

faciles à trouver,

qui changent la vie au jardin et dans l’assiette !


Pour les débutants, c’est l’assurance de ne pas être lâché dans la nature.



Par exemple, dès mi mai, on peut semer ou planter des tomates.


Oui mais lesquelles ?


Cela ne nous précise pas qu’il existe plus de 15 000 variétés de tomates !


Si on ne sait pas le choix qui s’offre à nous, on risque de répliquer la classique


tomate rouge qu’on voit dans les supermarchés.


Sans savoir qu’il en existe de toutes les formes, toutes les couleurs, plus ou moins acidulées.


Des variétés de tomate exprès pour la conservation, pour la cuisine, ou au


contraire à déguster crues.




Des variétés adaptées à votre planning de vacances 😂


Je veux dire par là que les débutants sèment et plantent souvent des variétés


classiques sans se poser de questions.


Donc ces variétés classiques sont dites “de saison”.


Donc en gros, qui produisent à fond pile en août, quand la majorité des


personnes qui peuvent prendre des vacances sont parties de chez elles….


pile quand les tomates sont prêtes à être récoltées.




Au contraire, chaque mois, selon ce qui est pertinent, je vous proposerai des variétés dites “précoces” ou “tardives”


Ce qui vous permet de récolter avant ou après vos vacances.


Mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.




Pour récolter toute l’année le même légume si vous le souhaitez !


Selon les plantes, on peut même les récolter absolument toute l’année


si on anticipe les différentes variétés selon les mois.




C’est le cas pour les légumes-feuilles en général, exemple de la mâche :


- en janvier et en février vous récoltez la variété “ronde maraîchère”


- en mars vous récoltez la variété “verte de cambrais” ou encore “coquille de louviers”


- de mai à septembre, vous récoltez la variété “palmarès”


- puis en automne hiver, vous récoltez la variété “d’Italie”




Notez que dans ce seul exemple, avec seulement 2 variétés vous récoltez toute l’année :


- 6 mois de beaux jours avec la variété “palmarès”


- puis 6 mois de saison froide où l’on récolte la variété “coquille de louviers”



Sachant qu’un sachet de mâche coûte 2 à 3,5€, et qu’il dure 5 ans :


c’est ultra rentable !


Ultra rentable... de se former 👍👏.
C’est tout le principe de ma revue.


Pour les jardiniers avertis, c’est la joie de découvrir de nouvelles variétés


C’est la fierté de surprendre ses proches, de varier les plaisirs,


de tester de nouvelles cultures à des saisons


que vous n’auriez peut-être jamais osé tester seul.



Chaque mois, je vous guide de A à Z

sur un mixte bien précis
de semis et de plantations, à faire dans le mois


Un parti pris basé sur plusieurs retours d’expériences


J’ai constaté, chez moi comme chez de nombreux jardiniers,


que lorsque l’on est abonné à une revue, on aime l’instant présent


et on ne retourne pas vraiment fouiller dans les archives.


Surtout que ce n’est pas pratique car il n’y a pas d’index de plantes


pour savoir quelle plante était mentionnée dans quelle parution…





Je dis cela car, en général, les livres ou les revues de jardinage actuelles précisent


un tableau de culture sur l’année, avec les périodes possibles de semis ou de plantation.


Sauf que comme on cultive en général une trentaine de potagères,


on ne prend jamais le temps de croiser toutes les données, toutes les périodes,


pour créer des calques avec toutes les combinaisons possibles


sur chaque planche de culture.




Ce serait assez rébarbatif : en pratique, personne ne le fait.


C’est pourquoi j’ai fait cette revue à l’image des personnes


que j’ai coachées en présentiel pour leur donner des cours de jardinage.



Et je suis sûre que vous aussi vous partagez ce trait de personnalité :


on veut du simple, du concret, du bon sens.



Donc concrètement, un plan mensuel très clair de semis et de plantations,

point barre.

Pas 1001 pages de textes ou des tableaux compliqués qu’on ne suit pas.


Je vous parlerai de ce que vous pouvez faire dans le mois, tout de suite.


Et comme je vous écris chaque mois, avec un mixte contenant les bases mais


aussi des propositions originales :


vous n’êtes jamais à court d’idées, ni de récoltes !




Regardez comment s’articule

chaque parution mensuelle :

Je commence toujours par la section des semis :

Comme vous le voyez, c’est simple de savoir que c’est un semis ce mois-ci,


grâce à la légende sur chaque fiche légume.




Je vais droit à l’essentiel, avec des informations difficiles à trouver ailleurs


Comme vous le voyez : pas de texte à rallonge ni de tableaux compliqués.


J’aurais pu faire des pages et des pages sur chaque légume, vous vous en doutez bien !


Mais ce n’est pas vraiment cela qui fera la différence dans votre jardin.


Cela peut vous divertir, mais l’important selon moi, c’est la pratique : l’action chez vous.




Que vous vous dites “ah mais c’est super simple en fait, hop je teste ce semis ce week-end !”


Car sinon, on passe un bon moment de lecture mais au fur et à mesure des


semaines, (et des mois !) le jardin ne progresse pas tant que cela, voire pas du tout.


Vous verrez dans mes fiches plantes que je veille à n’utiliser que très peu de termes techniques.




Un enfant de 5 ans pourrait lire la revue, et savoir faire le semis ou la plantation.


Et c’est crucial, car le jargon trop technique prive


un tas de débutants d'abondance : les tutoriels leur semble trop compliqué


alors que c’est simplement l’explication qui l’était.


J'échange volontiers avec

chaque membre de la revue

débutant ou confirmé, comme ici avec Henri :



Mon but : l'entraide !


Via la revue, je vous partage mes années d'expériences en jardinage et surtout en permaculture.


Mais j'apprends aussi beaucoup de vous, des questions (il n'y a aucune question "bête") ou des retours d'expériences des plus confirmés.



C'est passionnant et une belle communauté voit le jour.


J'ai remarqué que, dans ma newsletter ou ma revue, les lecteurs apprécient mon franc-parler, comme si j'étais à table avec eux.


C'est un peu mes origines de "bon sens paysan" qui parle !


Bon sens paysan

avec les détails vécus "qui tuent"


A chaque étape du guide de semis ou de plantation, j’ai pris soin de mettre des


détails qu’on ne partage pas assez alors que c’est ce qui rend le jardin


plus facile à entretenir, à embellir.




Ou tout simplement plus facile pour récolter, par exemple :


Bien des débutants ne se rendent compte que trop tard :


- qu’il est impossible de marcher parmi les cultures de courges ou de courgettes


- il faut vraiment laisser 2 mètres carrés autour d’un seul semis de courge ou de courgette, car les plantes sont coureuses au sol et au port envahissant.




- Résultat : cela peut étouffer les cultures voisines, cela engloutit vos allées,


cela complique passablement la récolte et le risque d'abîmer vos courges en


trébuchant ou en les malmenant dans le transport.


- Ce qui prive les courges de leur vertu de longue conservation…


- qu’il ne faut pas planter vos laitues en un seul jour, mais les étaler…


- etc !


Chaque fiche plante suit

4 temps chronologiques :


1. Je commence toujours

par les variétés anciennes du mois

Il sera facile de les trouver en ligne, de les commander,


pour les recevoir rapidement chez vous.



Les sachets de graines se conservent des années :


il ne faut pas hésiter à faire vos essais jusqu’à vous sentir à l’aise.


Il n’y a aucun gâchis à rater vos semis, de toute manière, il est rare d’avoir un


taux de réussite à 100% (et cela dépend aussi de la qualité des graines).




Selon les potagères et les saisons, je vous recommande 3 à 4 variétés par plante, ainsi vous faites votre choix !


Je prends soin de préciser à chaque fois combien de variétés il existe dans le


monde, pour vous montrer que la magie du jardinage naturel est sans fin.


C’est aussi un coup de pouce pour aider toutes les structures


comme le Réseau Semences Paysannes, à faire connaître et commercialiser


leurs variétés anciennes, si parfaites et méconnues.


2. Ensuite, je précise l’emplacement

et le type de sol

Par emplacement, je donne des conseils de ce genre :


- l’orientation : ombre, mi ombre, soleil ou mi soleil


- le type de sol si la plante a des besoins particuliers, et comment ajouter certains amendements au sol pour faciliter sa culture


- le coin du jardin le plus approprié : en termes de surface, de fréquence (si la plante demande peu d’entretien, autant la mettre plus loin au jardin), de compagnonnage avec les autres plantes que vous avez déjà chez vous, etc.


- la surface qu’il faut laisser entre la plante et les autres plantes, que ce soit sur votre ligne de semis ou au sein de votre plate-bande.


- etc !



3. Naturellement, j’enchaîne avec

le guide du semis

Car même si vous avez le dossier cadeau qui vous donne les bases du semis,


il faut toujours se renseigner sur le cas par cas de chaque plante :


- certaines graines ont besoin d’être trempées quelques heures avant d’être plantées, d’autres pas


- certaines ont besoin d’être paillées, d’autre pas du tout, ou plus tard


- certaines ont besoin d’être enterrées profondément, d’autre très peu


- d’autres doivent être bien tassées, mais pas toutes !


- certaines ont des besoins spécifiques : ajout de sable, d’orties fraîches, de compost mature etc… d’autre rien du tout


- autre détail important : parfois on doit mettre plusieurs graines dans le même trou, parfois pas.




Ce qui évite d’ailleurs de devoir “éclaircir” par la suite.

Éclaircir vos semis signifie simplement qu'il y en a trop qui ont levé !


Il faut faire de la place, ils sont trop collés les uns aux autres.




Bref, même si vous n’avez jamais fait de semis de votre vie :


Ce tutoriel simplifié vous invite à vous lancer sans plus attendre : ce n’est pas difficile.


Et comme la majorité des plantons qu’on nous propose ne sont pas forcément


issus de variétés anciennes et libres, il est primordial pour vous de maîtriser l’art des semis.




C’est le gage de votre autonomie, et aussi de fortes économies à la clé !


Car un planton, c’est simplement un semis qu’autrui a fait pour vous en amont.


Sauf que le planton, il vous le vend X fois plus cher.




Bon à savoir pour l’an prochain :


Il suffisait en février de faire vos semis de tomates à la maison, les repiquer en


pleine terre vers fin mai pour les récolter tout juillet, et jusqu'en novembre selon les variétés.


Miam !




Prenons l’exemple chiffré pour les tomates :


Un sachet de graines comporte en général 50 graines.


Un sachet de graines de variétés anciennes coûte environ 4€.




Soit 8 centimes d’euros la graine, c’est-à-dire le futur planton,


la plante qui vous donnera des kilos de tomates cet été !


Le planton, lui, est vendu en moyenne entre 2€ à 3,50€.


Soit le prix de 50 plantons si on les avait semés.




50 fois plus cher… ça fait réfléchir.


Surtout que votre sachet de graines, vous allez le garder en général 2 ans, voire plus.


Mais il faut le garder dans de bonnes conditions sans changement


de température (idéalement à température constante dans une cave, sans humidité).




Car sinon, le taux de germination des graines fond comme neige au soleil,


et vous pourriez croire que vous n’avez plus la main verte,


alors que c’est les graines qui ne sont plus de qualité.


4. Puis, je vous donne mes conseils

sur l’entretien de la plante

sur les prochaines semaines à venir

Pour faire simple, je les classe en 3 catégories :


- entretien minimal

- entretien modéré

- entretien important




L’entretien minimal c’est une plante qui pousse sans vous !


Je précise selon la plante s’il faut re-pailler en cours de route ou pas,


s’il faut arroser ou pas, mais en général, si elle a un entretien minimal,


c’est qu’elle n’a pas même pas besoin de beaucoup d’eau !




L’entretien modéré c’est qu’il faut vérifier tous les 3 jours


Pour prévenir les maladies, pour arroser, pour tuteurer la plante


éventuellement pour l’aider dans sa croissance.

Etc.




L’entretien important, c’est une plante qui a besoin que vous passiez la vérifier tous les soirs


Arroser, tailler, arracher les feuilles malades, récolter, amender etc…


La plante, sans ces soins quotidiens, poussera peu ou mal.


Cela concerne souvent les légumes-fruits qui nous viennent de


contrées tropicales à la base (tomate, poivron, aubergine etc…).


5. Enfin, je vous donne mes conseils

sur la façon de récolter,

et comment procéder concrètement


Je vous dis combien de temps attendre avant d’espérer récolter


Car les débutants s’étonnent toujours, mais certaines plantes ne se récoltent


que 5 mois après le semis ou la plantation !


D’autres en un temps record, comme les fameux radis de 30 jours.




Parmi la dizaine de potagères que je vous conseillerai chaque mois, je vous conseille de systématiquement prendre :


- au moins 2 plantes à récoltes rapides


- au moins 3 à récoltes normal


- et au moins 4 à récoltes lentes...


... si vous visez le chemin de l’autonomie alimentaire, pour avoir des légumes de garde en hiver.




Ce simple critère d’attente avant de récolter vous aidera aussi à organiser vos plates bandes


Et faire vos choix en famille sur qui on va semer ou planter ce mois-ci !


Surtout si votre jardin n’excède pas 150 mètres carrés.




Dernier conseil des fiches plantes : la façon de récolter


Les débutants ne savent pas bien comment s’y prendre et c’est tout à fait normal


si on n’a encore jamais cueilli quoi que ce soit de sa vie sur pied !



- Faut-il prendre un bout de tige avec, ou pas ?


- Faut-il arracher, ou couper franc avec un sécateur ?


- Comment faire pour les grosses racines ?


- Doit-on laisser la terre sur le légume ?


- Doit-on laisser le pied sur place, ou tout déterrer ?


- Légumes-feuilles : peut-on couper quelques tiges seulement, ou cela fatigue la plante mère ?


- Etc.




Certaines réponses sont intuitives, d’autres pas !


Là encore, je vous aider en vous partageant des conseils de terrain, du vécu, du bon sens.


Pour ne pas vous faire mal au dos ni abîmer la précieuse récolte.


Je vous dis aussi en général comment les conserver plusieurs mois post récolte,


quand c’est le cas (congélation, lacto-fermentation, en jauge au garage, en conserve etc.).


Bref, aussi court que possible pour ne pas vous prendre trop de jus de cerveau,


mais aussi complet que possible pour que vous soyez rapidement autonome.


“La substantifique moëlle” comme disait François Rabelais.



Pour la partie plantation, c’est exactement le même déroulé de la fiche plante :


Vous ne serez pas perdu grâce au pictogramme qui vous indiquera au fil des


pages que vous êtes dorénavant dans la section “plantations” et non plus “semis”.


La seule différence c’est le guide de plantation, au lieu du semi, logique !



Puisqu’on part du planton et non pas de la graine.


Mais là aussi, selon les plantes, il est bon de préciser :



- comment faire le trou très concrètement : largeur, profondeur


- si on met du compost ou pas dans le fond du trou


- si on recouvre de terre jusqu’au “collet” (la base de la tige), ou pas, ou plus.


- si on enterre le planton à la vertical, ou plutôt couché


- si on le paille etc…



A nouveau, tout sera clair comme de l’eau de roche !



Autre point majeur :

le choix des photos n’a pas été fait au hasard


En fait, j’ai constaté que la plupart des livres ou des revues sont assez avares de photos.


Généralement, on nous présente la photo au moment de la récolte, c’est tout.




Pourtant, une image vaut mille mots !


C’est pourquoi pour chaque plante, je mets 4 photos qui retracent son cycle complet 👍 :



Par cycle complet, j’entends le cycle botanique du végétal, de sa naissance à sa mort, ou presque :


1.C’est-à-dire à quoi ressemble sa graine (qu’on parte du semis, ou du planton).


2.A quoi ressemble la plante lorsqu’elle a 2 ou 3 semaines, et qu’elle est repiquée


au potager chez vous, en pleine terre.


3.A quoi elle ressemble adulte, lorsqu’elle est prête à être récoltée


et qu’elle fait sa taille maximale.


4. Et je prends soin de toujours montrer la fleur de la plante !




Ce dernier point est très important, surtout en permaculture !


A part pour les quelques légumes-fruits dont on consomme le fruit,


et donc on a nécessairement vu la fleur en amont….


et bien pour toutes les autres récoltes on ne voit jamais la fleur.




Cela pose 2 problèmes selon moi :


Le premier, c’est que les floraisons des plantes potagères sont parmi


les meilleures pour nourrir les précieux pollinisateurs du jardin.


Surtout les plantes de la famille des Ombellifères (carottes, fenouil, persil,


céleri etc…), mais pas seulement bien sûr.


Or, on les récolte systématiquement avant la montée en fleur.



Le cas le plus flagrant, c’est pour la salade !


Vite vite, il faut récolter “avant qu’elle ne monte en graine” durant les fortes

chaleurs d’été, et donc on coupe les fleurs pour retarder cela.


Mais en général elle monte vite en hauteur et c’est trop tard :


la plante a déjà changé de goût.


Voici à quoi ressemble une salade qui fleurit, bien loin de la version pommée qu'on récolte, n'est-ce pas ?


Il est temps pour elle de se reproduire, si vous lui laissez la chance de faire des graines.


Donc j’encourage toujours à laisser plusieurs potagères fleurir, pour le plaisir de


découvrir leurs discrètes floraisons (tétragone, poivron etc…) ou leur


exubérante fleur (oignon, ail, artichaut etc…).




Et le 2ème problème, c’est que cela nous coupe d’une connexion intime à la nature


Cultiver une plante sans connaître sa graine ou sa floraison,


c’est comme regarder le milieu du film uniquement.


On se prive du sens global, de la beauté de l'œuvre dans son entier.




Donc les 4 photos sur chaque fiche plante sont en fait très éducatives


A force de les découvrir chaque mois, pour une dizaine de plantes,


au fur et à mesure des 4 saisons :



- selon le type de graine, vous acquérez déjà de bons réflexes sur le type de semis appropriés


- selon le type de fleur, vous saurez peu à peu reconnaître la famille botanique de la plante, les regrouper entre elles !



Et maîtriser cela, grâce à des photos sur quelques saisons… c’est gagner des années d’expériences !



Enfin, la partie semis et plantation finit toujours par le bouturage ou le marcottage du mois


Pour vous former selon les saisons aux plantes et aux gestes, techniques et astuces...


...de la multiplication végétale, l’art d’avoir 10 pieds gratuits et en pleine santé

depuis une seule plante existante.


J’en ai déjà parlé auparavant donc je ne vais pas me répéter ici.




Sachez seulement que ceci ne se trouve nulle part ailleurs !


J’ai vraiment fait en sorte de faire une revue 360° pour les débutants


comme les initiés, pour découvrir, s’amuser et récolter toute l’année


pour continuellement obtenir une meilleure version de votre jardinage naturel.



Autre spécialité de ma revue :

les associations de plantes !


Je sais que c’est important pour la majorité d’entre vous.


D’ailleurs, vous êtes nombreux à avoir reçu en guise de cadeaux de bienvenue à ma newsletter un dossier cadeau sur cette thématique :


Ce dossier vous donnait déjà de nombreuses bases pour tester cette technique sans trop vous prendre la tête.



J’ai d’ailleurs aperçu dans le sondage que c’était une demande qui revenait souvent :



C’est pourquoi là encore, la meilleure façon d’en parler, c’est au fil des saisons,


chaque mois lorsqu’il est possible de composer ces bonnes associations justement.




C’est pourquoi la partie potagère finit systématiquement sur

comment associer le mixte de plantes proposées dans le mois :



Par exemple, j’y explique en détail les différentes vertus de ces associations :



- pour maximiser votre surface


- pour maximiser le rendement (la pollinisation, l’orientation etc…)


- pour maximiser la fertilité du sol


- pour éviter les maladies des plantes, ou trop d’humidité sur les plantes


- pour repousser certains ravageurs etc…


Certaines plantes n’aiment aucune voisine, ou simplement par raison pragmatique (elle étoufferait sa voisine).




Cela vous donnera enfin un éclairage simple avec les bons réflexes sur ce sujet crucial


Qu’on tend pourtant à complexifier alors que c’est comme pour les semis : tout bête finalement.


Il y a beaucoup de bon sens en jouant ne serait-ce que sur les simples strates


de hauteur des différents végétaux, ou sur leur cycle de production.




Bref, je sais que cette section “comment bien associer les plantes du potager” va vous ravir.



Mais ce n’est pas tout :


2 plantes biodiversité viennent compléter

la rubrique potager !


Vous savez que dans l’approche du jardinage naturel, de la permaculture,


on s’intéresse au jardin dans son ensemble et pas seulement au potager.




Car, à l’image de la Terre, on sait bien que tout est relié.


Un discret tas de bois laissé tout l’hiver dans un coin tranquille du jardin favorise


un gîte parfait pour les auxiliaires des ravageurs de la carotte, du choux, des fruitiers etc.


Un coin d’orties au milieu du potager est le garant de coccinelles et de papillons


qui dégomment sur place les pucerons avant même qu’ils ne soient trop nombreux, etc.


C’est pourquoi chaque mois,

vous découvrez les plantations-biodiversité

qui dopent vos récoltes, sur 4 pages :



Comme vous le voyez, je présente en détail une plante biodiversité


En général, ces plantes sont :


- bonnes pour le sol

- bonnes pour les auxiliaires

- bonnes pour les récoltes




Là encore, je vais directement à l’essentiel :


Et je parle de plantes qui sont officiellement reconnues dans la lutte biologique


qu’utilisent les professionnels comme les horticulteurs ou les maraîchers.



Car vous imaginez bien que si vous êtes dépité de votre rang de salades ou de


betteraves qui ont comme disparu du jour au lendemain (limace ? campagnols ?),


... alors comment font les professionnels dont c’est leur gagne-pain ?


Nombreux ont opté pour le zéro pesticide et ils utilisent les plantes dont je vous parlerai.




Bien souvent, le jardinier les connaissait mais il méconnaissait leurs vertus !


D’ailleurs, celle que je présente dans le numéro de juin est souvent méprisée


comme “mauvaise herbe” par excellence.


Alors que c’est l’exact opposé !




En effet, les “mauvaises herbes” sont souvent les plantes médicinales du sol.


Et bien souvent, elles ont aussi des vertus médicinales pour les humains.


Lorsque c’est le cas, je vous le préciserai pour faire du 2 en 1 !




Ici aussi, je vous proposerai des emplacements au jardin pour ces plantes spéciales


Afin que vous choisissiez ce qui est le mieux pour vous.


Car dans l’approche du jardinage naturel, il n’y a pas un jardinier pareil.


On a tous notre sensibilité à ce qu’on trouve “sauvage” ou “trop propre”.




Vous pourrez ainsi composer le jardin naturel à votre façon !


Et vous pourrez passer le mot à vos voisins.


C’est important de se partager ces informations, car les oiseaux, les auxiliaires


ou les pollinisateurs ne connaissent pas vraiment les frontières, les clôtures et les murs.



Et si on pouvait leur offrir des eldorados, ou plutôt des “corridors écologiques” le plus vaste possible…


… alors mieux se porterait la Terre et ses habitants.




Ceux qui aiment les fleurs

ne seront pas en reste


Ma revue présentera le portrait d’une fleur remarquable au jardin, chaque mois.




C’est l’avantage pour avoir un jardin fleuri même en saison froide :


En sachant d’avance quel bulbe ou graine semer.


Et puis, il y a tant de fleurs mais toutes ne se valent pas pour nourrir les


auxiliaires ou les oiseaux.



Aussi belles que nourricières :


Mon critère sera donc premièrement que cette fleur nourrisse vraiment les

auxiliaires du jardin :


- soit du pollen


- soit du nectar


- soit des graines


- soit les 3 !




Et il faut ce nourrissage aux 4 saisons car de nombreux auxiliaires sont des migrateurs toute l’année :


- pas seulement les oiseaux

- mais de nombreux insectes et papillons !


Il est donc important de penser à eux, car ils aident passablement à réguler votre jardin contre les ravageurs.



Du donnant-donnant.



Enfin, finissez la section biodiversité en beauté :
cochez les cases selon vos observations

et regardez si vous en voyez...

de plus en plus dans l’année :



Vous êtes plusieurs à jardiner en famille :


et je suis sûre que cette façon de présenter les principaux auxiliaires qui


peuvent traverser votre terrain, ou y loger, ravira les petits (comme les grands!).


Grâce à ce trombinoscope chaque mois au fur et à mesure des saisons,


vous allez prendre conscience de la diversité des habitants que peut accueillir un jardin naturel.




Et quand on en trouve un, c’est un vrai cadeau de la nature !


On se sent privilégié, et on a à coeur de faire le jardin le plus naturel possible pour qu’ils restent bien chez nous.


Car hélas, la plupart de ces animaux sont sur liste rouge de nos jours.


On aime tous les “trucs et astuces” en jardinage.


Du coup, je vous partagerai chaque mois une astuce de permaculture :

Cela permet de distiller au compte goutte les principes et techniques de la permaculture.




Mais je ne fais pas que permaculture. Je parlerai du jardinage naturel en général.


Car au final, la permaculture (enfin selon moi!) c’est un mélange des meilleures pratiques ancestrales.


Elles ont pris leur place dans un schéma de pensé global,


qu’on appelle “design” en anglais, pour dire “agencement”.




Pour dire qu’on ne fait pas un jardin au hasard :


mais qu’on réfléchit aux divers agencements du jardin, leur lien, leur complémentarité,


pour maximiser le circuit fermé comme dans une forêt ou une prairie : un écosystème bien portant.

D’ailleurs, c’est évident

et c’est une grande force :

cette revue est 100% vivante et “évoluable”

par ses abonnés :

Car il ne s’agit pas d’un très gros éditeur national ou international qui traduit son programme et le diffuse sur tous les canaux possibles (librairies, presse des aires d'autoroutes ou de supermarchés, Fnac etc…)

Non non c’est tout le contraire : c’est moi toute seule qui la créé depuis mon jardin ou mon salon

Pour mes lecteurs qui sont si bienveillants et avides de conseils, d’entraide.

Vous le savez bien car vous êtes un certain nombre à le faire : vous pouvez me joindre à tout moment

Il suffit de répondre par email à n’importe quel email que je vous ai envoyé.

Cela paraît bête à rappeler, mais c’est si rare qu’il faut le souligner :

Je ne suis pas un robot ni un grand groupe : je vous écoute et je réponds à chacun.

Je suis comme vous.

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pour vous faire votre avis sans risque !

Normalement, la revue fonctionne par abonnement annuel.

Mais exceptionnellement, je propose une offre découverte trimestrielle :

à l'issu de ce premier trimestre découverte :

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❌soit vous souhaitez y mettre fin, et vous pourrez le faire à tout moment : il suffit de m'écrire à Florence@secondenature.com


C'est juste l'idéal pour que vous vous fassiez votre avis, au meilleur moment en plus...


et on ne trouve cette formule dans aucun kiosque à revue, ni nulle part ailleurs


Concrètement :


1. Vous recevrez votre premier numéro immédiatement après votre commande, par email.


2. Puis, le 1er de chaque mois, vous recevrez vos prochaines parutions mensuelles, à 8h du matin par email.


3. Si vous en êtes satisfait : alors l’abonnement trimestriel se poursuivra et vous recevrez pour le prochain trimestre vos 3 prochains numéros, etc, jusqu'à couvrir les 4 saisons idéalement pour vous et votre jardin


4 .Mais si pour une raison X ou Y vous ne pouvez malheureusement pas honorer la suite de votre abonnement, alors aucun souci :


Il suffira de m’écrire et je vous désabonnerai de votre abonnement trimestriel.



Dit autrement, cela signifie que c’est uniquement moi qui prends tous les risques :



Car si je tombe sur des personnes malhonnêtes...


elles recevront gratuitement leurs 3 premiers numéros,


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puis elles demanderont un remboursement et en sommes elles auront tout reçu gratuitement (!!!)




Mais je vous fais confiance, je sais que vous serez de bonne foi !


Ce qui est très fort dans ma proposition, c’est que non seulement vous n’avez rien à craindre (aucune arnaque possible vu ce que je vous propose)


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de bienvenue livrés instantanément :




Je vous ai déjà parlé des 3 premiers guides de jardinage.


Mais il y en a un dont je n’ai pas encore parlé, le voici :




Livret 4 : Le guide de la température du sol (12 pages) :


Le plein d’informations inédites,

pour maximiser vos semis et plantations

Au programme :

- comment reconnaître la température du sol et pourquoi c’est si utile

- mon application préférée pour savoir la température de VOTRE sol, 100% gratuitement et à tout moment de l’année

Pourtant, il sera crucial pour adapter mes conseils à votre climat local :

Trop de revues ou de jardinage mentionnent des dates de culture comme si on vivait tous dans la même région…

Pourtant, selon l’altitude, le département, le microclimat...

... on ne vit pas du tout la même météo, la même année, la même saison de jardinage.

Alors comment faire ?

Il y a 2 facteurs importants à prendre en compte,

pour être sûr que les dates que je vous communiquerai vous correspondront, ou comment les personnaliser.

N°1 : bizarrement, personne n’en parle aux jardiniers amateurs

C’est la température du sol !

Les professionnels (agriculteurs, maraîchers etc…) le savent bien.

Ils ne se fient pas uniquement aux calendriers ou aux prévisions météo changeantes.

Ce qui fait foi : c’est la température du sol.

Surtout quand on parle de semis, comme le font en masse les agriculteurs.

C’est la température du sol qui détermine si la graine semée va germer rapidement, ou pas.

Bien sûr la température de l’air joue également, mais moins que ce que l’on pourrait penser.

Les chambres d’agriculture précisent cette température au sol pour toutes les plantes !

Il est très facile grâce à internet de trouver ces informations pour chaque plante.

Mais pour trouver la température de VOTRE sol en temps réel… comment faire ?!

J’ai une astuce pour vous.

Je m’en sers personnellement.

En fait, c’est une application smartphone qu’utilisent les agriculteurs en Suisse.

Mais j’ai fait le test : elle fonctionne très bien pour la France.

Où que vous soyez en France, il suffit d’être connecté à votre téléphone.

L’application se base sur les données agricoles de la station la plus voisine.

Cette application est gratuite ! Ne vous en privez plus.

Je trouve que c’est le plus facile, sinon vous pouvez acheter un thermomètre à sol.

Sinon, il faut aussi prendre en compte votre région bien sûr.

Je détaille tout cela dans ce guide offert !

Ainsi, zéro doute :

OUI la revue permet à n’importe quel jardinier de France

(de Belgique ou de Suisse d’ailleurs) de jardiner en cohérence avec ses spécificités locales.

Voilà.

Vous savez tout !

Si vous ne m'avez encore jamais acheté de livres, c'est peut-être votre toute première expérience avec moi.

Vous pouvez vous fier sur les commentaires que je reçois :

Presque que des avis 5 étoiles 💓 :

Vous pouvez leur faire confiance, et me faire confiance.

Et moi aussi je vous fais confiance avec une telle garantie de 3 mois garantis satisfaits OU REMBOURSES.

Oui ? Vous souhaitez prendre un abonnement trimestriel ?

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Que ce soit pour les bienfaits au jardin, ou les bienfaits bien-être :

- il ne faut surtout pas hésiter et profitez de cette belle offre généreuse

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n’hésitez pas à m’écrire par email à florence@secondenature.com




A tout de suite !

Florence

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A très bientôt. Florence